Il y a des jours ou la lumière est aussi interminable que la nuit
Il y a des nuits je resterais bien au chaud dans ce grand lit
Près de toi, dans tes bras, à faire inlassablement l’amour
Un jour passé près de toi, toujours aussi trop court
Mon amour n’est que larmes à l’horizon loin de toi,
Tu es mon grand bonheur, tu es ma grande joie.
Je t’expédie mes trésors, d’allégresse et de tendresse
Je t’aime pour ce que tu es, ma princesse
Je suis ton Valentin, plus je te vois, plus je t’aime
Ton sourire, empreinte le chemin de ce poème
Ton naturel, ta confiance à mes sentiments au bonheur
Tu es la tramontane qui vient soupirer l’amour cajoleur.
Ma Valentine, s’il était nécessité de tuer pour te voir,
Je serais un assassin pour te garder, à toujours m’émouvoir
Je t’aime simplement d’un amour qui ne s’explique pas,
Il me transporte tous les jours, de ce cœur si ardent et si sympa
J’ai de la chance de t’avoir croisé un jour de feu d’artifice
J’avais du mal à trouver les mots, le soleil de mes jours réfléchissent.
Tes yeux étaient ensoleillés de cette nuit d’un 14 juillet, si courts
J’avais kidnappé tes lèvres pour un baiser glamour.
Poème original de Jean Olmini
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