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Le tricot : l’arme secrète anti-stress de nos grands-mères (et elles avaient tout compris !)

On a souvent tendance à associer le tricot à nos grands-mères, pelote de laine et aiguilles en main, confectionnant des pulls qui grattaient un peu mais qui étaient faits avec amour. Eh bien, il est grand temps de remettre cette image au goût du jour ! Parce que, devinez quoi ? Le tricot revient en force, et pas seulement pour remplir nos armoires de bonnets et d’écharpes. Non, aujourd’hui, il s’impose comme une véritable thérapie pour apaiser nos esprits agités par le stress et l’anxiété. Et si nos grands-mères avaient déjà tout compris avant tout le monde ?

Le retour en force du tricot

Le tricot, longtemps relégué aux passe-temps vieillots, fait un retour fracassant. Avec l’essor des loisirs créatifs, l’envie de se reconnecter à des activités manuelles et l’attrait pour le fait-maison, de plus en plus de gens, jeunes et moins jeunes, se mettent à manier les aiguilles. Il suffit de jeter un coup d’œil aux réseaux sociaux : les photos de tricots, crochets et autres créations en laine inondent Instagram, Pinterest et même TikTok ! Le tricot n’est plus un simple hobby, il devient tendance. Et surprise : ce n’est pas juste pour se fabriquer un pull, mais bien pour prendre soin de soi.

Pourquoi le tricot fait du bien à notre santé mentale ?

À première vue, tricoter peut sembler un peu répétitif, voire un peu ennuyeux. Mais c’est justement cette répétition qui fait tout son charme et ses bienfaits. Comme dans d’autres activités méditatives, la régularité du geste aide à se concentrer, à apaiser l’esprit et à calmer les pensées qui tourbillonnent. Quand on tricote, on est totalement absorbé dans l’instant présent. Les doigts se déplacent mécaniquement, les mailles s’enchaînent, et l’esprit, lui, s’apaise doucement. On entre dans une sorte de transe douce et réparatrice, un état de « flow », comme disent les experts en psychologie positive.

Des études ont même montré que tricoter pouvait avoir un effet similaire à la méditation, en diminuant la fréquence cardiaque et en abaissant les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. Oui, vous avez bien lu ! Tricoter, c’est un peu comme faire du yoga, mais sans avoir à se plier dans tous les sens. Alors, si la simple idée de vous asseoir en lotus vous stresse déjà, sortez vos aiguilles et lancez-vous dans un projet tricot.

Nos grands-mères avaient raison : le tricot, c’est aussi un anti-anxiété naturel

Nos grands-mères n’avaient peut-être pas de smartphone, mais elles avaient un talent inné pour dénicher des activités apaisantes. En réalité, le tricot a tout ce qu’il faut pour calmer nos nerfs et chasser l’anxiété. La concentration qu’il demande détourne notre attention des soucis quotidiens. Et surtout, tricoter nous permet de ralentir, un luxe rare dans notre société où tout va toujours plus vite.

Le tricot, c’est aussi une activité qui nous reconnecte à un temps où les choses prenaient leur temps. Dans une époque où tout est instantané (un message, une photo, une commande en ligne livrée en un clin d’œil), prendre des heures, voire des jours, pour créer un pull ou une écharpe peut sembler archaïque. Mais c’est justement ce processus lent qui fait du bien. Tricoter, c’est accepter que certaines choses prennent du temps, et ça, ça fait du bien au mental.

Un boost de créativité et de confiance en soi

Au-delà de l’effet apaisant, le tricot stimule aussi la créativité. Choisir la laine, imaginer le modèle, jouer avec les couleurs et les textures… tout cela fait travailler notre imagination. Et le meilleur dans tout ça ? À la fin, on tient entre nos mains une création unique, faite de nos propres mains. Ce sentiment d’accomplissement est une véritable bouffée d’air frais pour l’estime de soi. Que ce soit un pull qui n’aura peut-être pas la coupe parfaite ou une écharpe un peu bancale, ce qui compte, c’est d’avoir créé quelque chose de ses propres mains.

Le tricot nous apprend aussi la patience et la persévérance. Des valeurs que l’on oublie parfois dans une société où tout doit aller vite. Tricoter, c’est accepter de faire et de défaire, de recommencer, et de ne jamais baisser les bras. Chaque maille glissée à l’envers est une leçon de vie : parfois, il faut revenir en arrière pour mieux avancer. Et quelle satisfaction de voir son projet prendre forme petit à petit !

Un tricot, une communauté

Il y a aussi un autre aspect du tricot qui fait du bien à l’esprit : la communauté. Si nos grands-mères tricotaient souvent seules, aujourd’hui, c’est une activité qui rassemble. De plus en plus de groupes de tricot se forment, que ce soit en ligne ou dans des cafés, permettant à ceux qui partagent cette passion de se retrouver et d’échanger. Le tricot devient alors une manière de tisser (sans jeu de mots !) des liens sociaux. Et dans un monde parfois déconnecté, se retrouver autour d’une activité simple et conviviale, ça fait du bien.

D’ailleurs, que vous soyez un(e) tricoteur(trice) novice ou expert(e), il y a toujours une personne prête à partager son savoir, à vous montrer une technique ou à vous encourager quand vous vous retrouvez face à un nœud que vous n’arrivez pas à démêler (littéralement !). Et cette entraide, cette solidarité, ça fait chaud au cœur.

Tricoter pour une meilleure santé mentale, c’est prouvé !

Si cela peut sembler anecdotique, les bienfaits du tricot sur la santé mentale sont de plus en plus reconnus par les professionnels. Le tricot est aujourd’hui recommandé dans certaines thérapies pour les personnes souffrant de dépression ou d’anxiété. C’est une activité accessible à tous, sans distinction d’âge ou de condition physique, et qui peut se pratiquer partout. Pas besoin de matériel sophistiqué, juste des aiguilles, un peu de laine et une bonne dose de patience.

Et pour ceux qui pensent que le tricot est réservé aux grands-mères, détrompez-vous ! De nombreux jeunes s’y mettent et revendiquent haut et fort leur passion. Certaines célébrités, comme Ryan Gosling ou Julia Roberts, ont même avoué être des adeptes de ce passe-temps. Alors, pourquoi pas vous ?

Conclusion : Le tricot, c’est la nouvelle méditation

En résumé, tricoter n’est plus simplement une activité démodée. C’est un véritable allié pour notre bien-être mental. Il apaise, détend, stimule la créativité et nous donne un sentiment d’accomplissement. Nos grands-mères avaient bien raison : un peu de laine et des aiguilles peuvent faire des miracles pour l’esprit.

Alors, si vous cherchez une nouvelle manière de déstresser, de prendre du temps pour vous, ou même de rencontrer des gens, pourquoi ne pas vous lancer dans le tricot ? Après tout, une maille à l’endroit, une maille à l’envers, c’est tout ce qu’il faut pour retrouver la sérénité. Et qui sait, vous pourriez bien finir par offrir à vos proches le pull le plus cool de l’année (sans qu’il ne gratte, promis).

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