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jimagine.org est une association à but non lucratif c’est une plateforme innovante qui met en lumière et en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.

Initiatives innovantes de jimagine.org

Les initiatives innovantes de jimagine.org visent à créer un réseau de professionnels et d’associations créatives, capables de partager leurs expériences et leurs ressources et de s’entraider dans leurs communautés respectives.

jimagine.org a développé une série d’initiatives pour soutenir sa mission. Il s’agit notamment des initiatives suivantes

  • Mise en relation d’artistes, de professionnels, d’associations et de collectivités locales : jimagine.org fournit une plateforme permettant aux membres de se connecter et de collaborer entre eux. Grâce à cette plateforme, les membres peuvent trouver des opportunités pour créer et partager leur travail,
  • Événements et ateliers : jimagine.org organise des événements et des ateliers, qui rassemblent des artistes, des professionnels, des associations et des autorités locales pour partager leurs expériences, leurs ressources et leurs idées.


Vous souhaitez soutenir l’association Jimagine plusieurs possibilités s’offrent à vous, en partageant ce post avec vos contacts, en vous inscrivant gratuitement sur jimagine.org, ou nous soutenir financièrement en faisant un don via Helloasso ou devenir adhérent de l’association Jimagine.

Merci d’avance on compte sur vous !

Lancé le 10 septembre 2018, jimagine.org se veut être le nouveau média avec une ligne éditoriale positive. L’objectif premier de ce site internet est de montrer qu’il existe en France de belles initiatives qui sont en manque terrible d’exposition médiatique. En rejoignant la communauté de jimagine.org , vous prouverez qu’un autre monde est possible.

jimagine.org est une association à but non lucratif c’est une plateforme innovante qui met en lumière et en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.

Vous pouvez adhérez et devenir membre à l’association JIMAGINE pour 10 € par an :

ou en scannant le qr code suivant

  • En devenant adhérent vous pourrez participer au développement de Jimagine.org
  • De favoriser le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies

Seul on va plus vite ! ensemble on va plus loin !

Depuis son lancement en septembre 2018, jimagine.org s’est imposé comme un média à la ligne éditoriale positive. Son objectif principal est de mettre en lumière les belles initiatives françaises qui manquent cruellement d’exposition médiatique. Rejoindre la communauté de jimagine.org, c’est prouver qu’un autre monde est possible. En tant qu’association à but non lucratif, jimagine.org est une plateforme novatrice qui met en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.

Les avantages d’être membre de Jimagine.org

En devenant membre de jimagine.org, vous bénéficiez de nombreux avantages :

  1. Participation au développement de Jimagine.org En adhérant à 10 euros par an sur jimagine.org, vous devenez acteur du développement de la plateforme. Vous pouvez contribuer à faire connaître les initiatives créatives et favoriser leur développement.
  2. Accès privilégié à des événements et des rencontres En tant que membre, vous avez accès à des événements exclusifs organisés par jimagine.org. Vous pouvez rencontrer des artistes, des professionnels et des personnes partageant les mêmes intérêts que vous.
  3. Mise en avant de vos propres projets créatifs En adhérant à jimagine.org, vous pouvez mettre en avant vos propres projets créatifs. La plateforme vous offre une visibilité et une audience pour partager votre passion et votre talent.

Comment adhérer à Jimagine.org ?

Adhérer à jimagine.org est simple et rapide. Vous pouvez procéder de deux manières :

  1. En ligne Vous pouvez adhérer en ligne en visitant le site web de jimagine.org. Il vous suffit de remplir le formulaire d’adhésion et de procéder au paiement sécurisé en ligne via Helloassociation pour 10 euros par an.

Pourquoi votre adhésion compte ?

En adhérant à jimagine.org, vous contribuez à soutenir l’économie créative et à promouvoir les initiatives locales. Votre adhésion permet de financer les actions de la plateforme et de continuer à mettre en lumière les projets créatifs qui méritent d’être connus. Chaque adhésion compte et chaque membre est un acteur clé du développement de jimagine.org.

Conclusion

Jimagine.org est bien plus qu’un simple média en ligne. C’est une communauté engagée qui se mobilise pour soutenir l’économie créative et donner une visibilité aux initiatives locales. En adhérant à jimagine.org, vous pouvez participer activement à cette mission et faire partie d’un mouvement qui prône un autre monde possible. Alors n’attendez plus, adhérez à 10 euros par an sur jimagine.org et soutenez l’économie créative dès aujourd’hui !

Une opportunité unique de jouer sous la direction de Patrick Hahn, l’un des chefs d’orchestre les plus prometteurs de sa génération.

Le monde change, les tensions se multiplient, mais la musique demeure un langage universel, capable de rassembler les peuples, d’adoucir les mœurs et de bâtir des ponts entre les cultures. C’est dans cet esprit que les Jeunesses Musicales Internationales (JMI), la plus grande organisation musicale pour la jeunesse au monde, lancent un appel vibrant à la nouvelle génération de musicien·nes : postulez dès maintenant pour intégrer le JMI Unity 80 Orchestra, un orchestre de chambre exceptionnel qui se réunira à Debrecen, en Hongrie, du 8 au 15 juillet 2025.

Ce projet inédit s’inscrit dans le cadre des célébrations du 80ᵉ anniversaire de JM International, organisation reconnue par l’UNESCO et célèbre pour son JM World Orchestra (1949-2009), un ensemble ambassadeur de paix qui a marqué plusieurs générations. Avec le Unity 80 Orchestra, JMI renoue avec cette tradition, en formant un orchestre multiculturel rassemblant de jeunes musicien·nes classiques professionnels âgés de 18 à 30 ans issus des quatre coins du monde.

L’objectif ? Offrir une expérience artistique et humaine hors du commun, dans un contexte professionnel, avec un encadrement de haut niveau, et surtout, transmettre un message fort de solidarité, de paix et de compréhension mutuelle à travers la musique.

À la baguette de ce projet ambitieux : Patrick Hahn, chef d’orchestre, compositeur et pianiste autrichien né en 1995, déjà salué comme l’un des artistes les plus polyvalents et brillants de sa génération. À seulement 29 ans, il a dirigé des formations prestigieuses comme le London Philharmonic Orchestra, le Vienna Symphony ou encore le Royal Scottish National Orchestra.Patrick Hahn ne se limite pas à la direction classique. Passionné de jazz, de cabaret et de musique contemporaine, il est aussi un compositeur primé et un pianiste accompli. Formé par des légendes telles que Kurt Masur et Bernard Haitink, il a également été l’assistant de Kirill Petrenko, ce qui en dit long sur son excellence et son parcours hors normes.

Pour les jeunes musicien·nes, c’est une occasion précieuse d’apprendre auprès d’un maître qui allie exigence, modernité et passion, tout en explorant un répertoire aussi riche que stimulant.

Le programme : entre excellence musicale et immersion humaine

Le Unity 80 Orchestra sera composé d’un effectif réduit mais exigeant, fidèle à la tradition des orchestres de chambre, et travaillera un programme ambitieux comprenant des œuvres de Haydn, Ravel, Bartók et Chostakovitch.

Les instruments recherchés sont :

  • Cordes : Violon, Alto, Violoncelle, Contrebasse
  • Bois & Cuivres : Flûte, Hautbois, Basson, Cor (Cor d’harmonie)

Les dates clés :

  • 08 juillet 2025 : arrivée des participant·es à Debrecen
  • 09-11 juillet : répétitions par pupitre
  • 11-14 juillet : répétitions tutti
  • 14 juillet : concert final lors du JMI Global Event
  • 15 juillet : départs

Le concert du 14 juillet marquera le début officiel de l’orchestre, en clôture de la conférence internationale JMI Global, réunissant des professionnel·les de la culture, représentant plus de 70 pays.

Conditions de participation

  • Aucun frais de participation ne sera demandé.
  • L’hébergement, les repas et les transports locaux sont pris en charge.
  • Les frais de voyage jusqu’à Debrecen et les assurances personnelles (y compris pour les instruments) sont à la charge des participant·es.
  • Les candidat·es sont invité·es à contacter leur organisation nationale membre de JMI pour solliciter un soutien financier au voyage. La liste est disponible sur le site de JMI.

Comment postuler ?

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 1er mai 2025. Pour postuler, les musicien·nes doivent fournir :

  • Un CV musical succinct
  • Une lettre de motivation
  • Une ou deux vidéos (10 à 20 minutes au total) :
    • Un 1er mouvement de concerto ou de sonate (exposition seule possible)
    • Une œuvre contrastante (style romantique, contemporain, impressionniste, etc.)
    • Les pièces peuvent inclure musique de chambre ou solo

Les musicien·nes sélectionné·es seront informé·es au plus tard le 14 mai 2025.

Un projet porteur d’espoir

Dans un monde fracturé, le JMI Unity 80 Orchestra ne se contente pas de célébrer la musique : il incarne l’idée que les jeunes, par leur talent et leur engagement, peuvent devenir des vecteurs de paix et d’unité. Ce projet est bien plus qu’un orchestre éphémère : c’est un message d’harmonie, un rite de passage artistique, une expérience humaine transformatrice. Si vous êtes un·e jeune musicien·ne entre 18 et 30 ans, passionné·e, curieux·se et prêt·e à vivre cette aventure internationale, le moment est venu de faire entendre votre voix.

➤ Pour candidater ou poser vos questions :

Email :  j.beurms@jeunessesmusicales.be
Téléphone :  +32 2 513 97 74

Facebook : https://www.facebook.com/jminetwork

Instagram : https://www.instagram.com/jminetwork

Youtube : https://www.youtube.com/user/JeunessesMusicales

Linkedin : https://www.linkedin.com/in/jminternational/

Les Jeunesses Musicales : éduquer, éveiller et rassembler par la musique

Depuis près d’un siècle, les Jeunesses Musicales s’engagent avec passion pour faire vibrer la jeunesse au rythme de la musique vivante. En Belgique francophone, la Fédération des Jeunesses Musicales Wallonie-Bruxelles (JM WB) s’impose aujourd’hui comme un opérateur culturel incontournable, alliant action éducative, valeurs citoyennes et ouverture artistique.

Loin d’être un simple diffuseur de concerts, les Jeunesses Musicales se définissent avant tout comme un mouvement d’éducation artistique et culturelle, profondément enraciné dans le tissu social. Depuis leur création, elles poursuivent une ambition claire : donner à chaque jeune, quel que soit son milieu, les clés pour rencontrer la musique, l’explorer et la faire sienne.

Concrètement, cela se traduit par des milliers d’activités organisées chaque année : concerts pédagogiques, ateliers de découverte musicale, formations pour enseignants et animateurs, stages durant les vacances scolaires, résidences artistiques, collaborations avec les écoles, les centres culturels ou encore les maisons de jeunes. Chaque projet est conçu dans une optique participative, ludique et de qualité, favorisant une rencontre vivante avec la musique.

Mais la force des Jeunesses Musicales réside aussi dans leur capacité à lier expression artistique et réflexion citoyenne. Au fil des années, elles ont développé des programmes autour de thématiques fortes : le vivre-ensemble, la diversité culturelle, l’environnement, les droits humains… Autant de sujets qui font résonner la musique avec les enjeux du monde contemporain, et qui permettent de susciter chez les jeunes une conscience ouverte, critique et solidaire.

Cette dimension engagée fait des Jeunesses Musicales bien plus qu’un acteur culturel : elles sont un moteur de transformation sociale, un espace d’émancipation où chaque jeune peut s’épanouir, exprimer sa créativité et affirmer son identité dans un cadre bienveillant.

Reconnue et soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Fédération des JM WB joue un rôle crucial dans le maillage culturel de la région. Présente sur tout le territoire grâce à ses différentes antennes locales (les JM de Liège, Namur, Charleroi Métropole, etc.), elle tisse des partenariats étroits avec le monde scolaire, le secteur associatif et les institutions artistiques, créant ainsi un écosystème fertile pour la diffusion de la musique auprès des jeunes générations.

Elle est également un vivier pour les artistes belges, en particulier ceux qui s’adressent au jeune public. De nombreux musiciens y trouvent un premier cadre professionnel, expérimentent des formes innovantes, construisent des tournées… Les JM participent activement à leur émergence et à leur rayonnement.

Les Jeunesses Musicales Wallonie-Bruxelles sont membres de JM International (JMI), le plus grand réseau musical pour la jeunesse au monde, actif dans plus de 70 pays. Ce lien ouvre la porte à des projets internationaux ambitieux, comme le JMI Unity 80 Orchestra, un orchestre éphémère rassemblant des jeunes musicien·nes du monde entier pour une session en Hongrie, ou encore des échanges culturels, des résidences artistiques à l’étranger, des formations ou festivals jeunesse.

À travers ces initiatives transfrontalières, les JM favorisent l’interculturalité, la paix par la musique et l’enrichissement mutuel des expériences artistiques et humaines.

Dans un monde où les repères culturels se fragmentent et où les inégalités d’accès persistent, les Jeunesses Musicales réaffirment leur vocation de service public, fondée sur l’équité, la participation active, la rencontre sensible et l’excellence artistique. Elles portent un regard lucide sur les défis éducatifs et sociaux actuels, et y répondent par l’engagement, la créativité et la passion.

Faire de chaque rencontre musicale une aventure humaine. Donner aux jeunes des outils pour comprendre, rêver, questionner. Offrir aux artistes un terrain d’expression et de transmission. Voilà la mission que la Fédération des Jeunesses Musicales Wallonie-Bruxelles poursuit au quotidien, avec détermination et enthousiasme.

Fédération des Jeunesses Musicales Wallonie-Bruxelles
173, Boulevard du Triomphe – 1160 Bruxelles
(+32) 02/207.13.00
Email : info@jeunessesmusicales.be

Site internet : www.jeunessesmusicales.be

Facebook : https://www.facebook.com/jmwalloniebruxelles/

Youtube : https://www.youtube.com/user/FJMWBTV

Instagram : https://www.instagram.com/jmwalloniebruxelles/

Tu crois te connaître ? Attends un peu de découvrir ce que la psychologie a à dire sur toi… et sur nous tous ! Voici 36 vérités surprenantes, drôles et parfois déroutantes sur le fonctionnement de notre cerveau et de nos comportements.

  1. Le mot “psychologie” vient du grec psyche (souffle, âme, esprit) et logia (étude). Bref : la psychologie, c’est l’étude de ce qui nous fait vibrer de l’intérieur. Beau, non ?
  2. Il faut en moyenne 66 jours pour transformer une action en habitude. Alors… deux mois pour devenir accro au yoga ou au chocolat noir !
  3. Ceux qui utilisent le sarcasme pour répondre à des questions bêtes sont souvent très en forme… mentalement parlant ! Un esprit vif se cache souvent derrière une répartie cinglante.
  4. Tu sous-estimes souvent le temps qu’il te faut pour faire quelque chose.C’est ce qu’on appelle le biais d’optimisme. Et c’est pour ça que tu finis souvent en mode “vite-vite” à la dernière minute.
  5. Le multitâche, c’est un mythe.En effet ton cerveau ne fait pas vraiment deux choses à la fois. Il saute d’une tâche à l’autre… et fatigue doublement.
  6. Les personnes très sensibles à la culpabilité sont souvent plus douées pour ressentir et comprendre ce que les autres vivent. De vrais radars émotionnels !
  7. Les odeurs ravivent les souvenirs plus fort que n’importe quel autre sens.Une madeleine, un parfum, une pluie d’été… et hop, tu es de retour en 1998.
  8. Le cerveau des autres mime inconsciemment les expressions qu’il voit. Alors, souri : c’est viral (dans le bon sens) ! On hésite naturellement à faire des choix… parce qu’on craint le jugement des autres. Merci la société !
  9. Bâiller quand quelqu’un d’autre bâille, même sans être fatigué ? Normal ! C’est un signe d’empathie, ton cerveau veut juste dire “je te comprends”.
  10. Ton esprit vagabonde environ 30 % du temps. Oui, même pendant cette lecture. Reviens !
  11. Ton cerveau continue de travailler pendant ton sommeil. Il trie, classe, analyse… pendant que tu rêves d’un sandwich qui parle. Tout est normal.
  12. Tu peux ressentir la douleur physique… en voyant quelqu’un souffrir.Le cerveau active presque les mêmes zones. L’empathie, c’est aussi dans la chair.
  13. Les pupilles se dilatent de 45 % quand tu regardes quelqu’un que tu aimes. Ton regard le crie avant même que ta bouche ne parle.
  14. Le cerveau aime tout diviser par 3 ou 4. Comme les numéros de téléphone : 984-973-2543. Hop, 3 petits blocs digestes.
  15. Dans les 7 dernières minutes avant de mourir, ton cerveau déroule un film de ta vie, façon rêve éveillé. Un générique d’adieu émotionnel.
  16. La nostalgie rend plus heureux qu’on ne croit.Repensant à de bons souvenirs, ton cerveau libère de la dopamine. Ce n’est pas être dans le passé, c’est revitaminer ton présent.
  17. Avoir des frères et sœurs, ça aide à mieux s’entendre avec les autres plus tard. Merci les chamailleries d’enfance !
  18. La façon dont tu traites les serveurs ou le personnel en dit long sur toi. Plus que ton CV !
  19. Une larme de joie coule de l’œil droit, une larme de tristesse de l’œil gauche. Poétique, non ?
  20. Un plat préparé par quelqu’un d’autre semble toujours meilleur… même si c’est ta propre recette !
  21. Quand tu mens, ton cerveau dépense plus d’énergie que quand tu dis la vérité.
    Le mensonge fatigue. La vérité libère… et repose
  22. Une critique peut anéantir 5 souvenirs positifs. À manipuler avec précaution.
  23. Manger sans conservateurs peut booster ton QI jusqu’à 14 points. Vive le frais, le vrai, le bio !
  24. Tu penses plus souvent à une personne précise qu’à des catastrophes mondiales. C’est dire son impact dans ton cœur (et ta tête).
  25. Croire qu’un truc va mal tourner est souvent moins stressant que ne pas savoir ce qu’il va se passer. Le cerveau préfère le drame au flou !
  26. Entendre ton prénom active instantanément ton cerveau.Même au milieu du bruit, il se redresse comme un chien qui entend la gamelle.
  27. Écouter de la musique (instrumentale ou classique) pendant les études améliore ta concentration. Alors, Mozart ou lo-fi beats ?
  28. Prévoir quelque chose de sympa (voyage, sortie, cadeau) déclenche déjà de la dopamine.Le plaisir commence avant l’événement. L’attente, c’est déjà du bonheur.
  29. Ton cerveau adore les motifs et les raccourcis. Acronymes, histoires, moyens mnémotechniques : il en redemande !
  30. Le stress flingue ta mémoire. Respire, fais une pause, marche un peu, et elle reviendra. Promis.
  31. Même si tu n’es pas heureux, souris ! Ton cerveau te suivra et produira dopamine et sérotonine. Fake it till you make it !
  32. Se doucher à l’eau froide peut améliorer l’humeur.Ça booste ton système nerveux… et te rend plus vif qu’un expresso serré.
  33. Les nuits blanches, c’est contre-productif. Ton cerveau classe, trie et assimile pendant ton sommeil. Dors, c’est du boulot !
  34. Ton cerveau aime les petits objectifs. Un gros projet ? Coupe-le en étapes faciles. Chaque mini-victoire booste ta motivation !
  35. Les couleurs influencent ton humeur. Bleu = calme, jaune = joie, rouge = alerte. Habille-toi et décore selon ton humeur du jour !
  36. Alors, lequel de ces faits t’a le plus étonné ? Le cerveau humain, c’est vraiment un univers à lui tout seul… et on en découvre un peu plus chaque jour.

Parodie hilarante du célèbre film de James Cameron, la comédie musicale Titanique s’apprête à débarquer à Paris. À partir du 24 avril 2025, le Théâtre du Lido sur les Champs-Élysées accueillera cette production culte venue des scènes off-Broadway, qui transforme le naufrage du plus célèbre paquebot de l’Histoire en un fou rire collectif. À bord ? Jack, Rose… et surtout Céline Dion.

Tout commence à Los Angeles, en 2017. Pour une unique soirée, un trio d’artistes – Marla Mindelle, Constantine Rousouli et Tye Blue – présente Titanique: In Concert. L’idée ? Réécrire l’histoire du Titanic à travers les chansons et la personnalité survoltée de Céline Dion. Cinq ans plus tard, la blague est devenue un phénomène : après un triomphe au Asylum Theatre de New York, le spectacle est transféré au prestigieux Daryl Roth Theatre en novembre 2022. Les critiques sont dithyrambiques, les récompenses pleuvent : Titanique décroche notamment le Lucille Lortel Award de la meilleure comédie musicale et l’Off-Broadway Alliance Award du meilleur nouveau musical.

Mais attention, ce n’est pas un simple hommage. Dans Titanique, Céline Dion devient narratrice, héroïne, guide touristique et… survivante du naufrage ! L’histoire commence lorsqu’elle interrompt une visite du Titanic Museum pour livrer sa propre version des faits. Elle prétend avoir assisté – voire influencé – chaque moment du destin de Jack et Rose.

Loin d’un biopic musical classique, Titanique est une explosion de second degré et de culture pop, avec des clins d’œil assumés à RuPaul’s Drag Race, Unbreakable Kimmy Schmidt ou encore aux films cultes des années 90. Une partie du spectacle est même improvisée chaque soir, rendant chaque représentation unique.

Le cœur du spectacle repose sur les chansons mythiques de Céline Dion, réorchestrées pour l’occasion par Nicholas Connell. Les titres s’enchaînent comme des vagues d’émotions, entre humour burlesque et puissance vocale : I’m Alive, All by Myself, The Prayer, Because You Loved Me, Seduces Me, River Deep – Mountain High… jusqu’à l’incontournable My Heart Will Go On, qui clôt le spectacle dans une apothéose aussi kitsch qu’émouvante.

Le décor ? Un carton-pâte assumé, des costumes flamboyants, une chorégraphie éclatante signée Ellenore Scott, et une galerie de personnages hauts en couleur. Mention spéciale pour l’Iceberg, incarné comme une diva tragique, et pour Molly Brown, qui livre des numéros vocaux d’une intensité remarquable.

Au fil de ses représentations, Titanique a conquis un public fidèle surnommé les « TiStaniques », qui reviennent voir le spectacle plusieurs fois. Saluée pour son humour déjanté et son énergie contagieuse, la comédie musicale est aussi devenue une icône queer, célébrée pour son camp assumé et ses références LGBTQ+ omniprésentes. GLAAD, le célèbre organisme de défense des droits LGBTQ+, a salué l’œuvre pour sa représentation festive et inclusive.

Après avoir fait rire Sydney, Montréal, Toronto et Londres, Titanique s’apprête à faire escale à Paris, au Théâtre du Lido, à partir du 24 avril 2025. Cette version française s’annonce fidèle à l’esprit original, avec une adaptation respectueuse de l’humour et du ton décalé qui ont fait le succès du spectacle.

La distribution parisienne réunira une nouvelle équipe d’artistes talentueux, emmenés par Astrid Harris dans le rôle de Céline Dion, Oliver Bales en Jack Dawson, Jess Aubrey en Rose et Jenny O’Leary en Molly Brown. Le spectacle conserve la mise en scène de Tye Blue, les orchestrations de Nicholas Connell, et l’aval officiel de Music Theatre International (MTI).

Pourquoi il ne faut surtout pas rater Titanique

Oubliez la tragédie, faites place au délire. Titanique est le spectacle cathartique par excellence, celui qui transforme une romance mythique en comédie musicale éclatante, et un naufrage cinématographique en feu d’artifice théâtral. Dans une époque en quête de légèreté, cette œuvre incarne un vent de fraîcheur, entre parodie assumée, hommage sincère et célébration musicale.

À la croisée du music-hall, de la drag culture et du théâtre d’improvisation, Titanique est bien plus qu’un simple divertissement : c’est une expérience collective, jubilatoire et réconfortante, un cri d’amour à la diva québécoise et à tous les passionnés de comédies musicales.

Site Internet : https://titaniquemusical.com/

Facebook : https://www.facebook.com/titaniquemusical

Youtube : https://www.youtube.com/@TitaniqueMusical

Informations pratiques

Théâtre du Lido de Paris , 116 bis Avenue des Champs-Élysées, 75008 Paris
Métro Ligne 1 : station George V | RER A : Charles de Gaulle – Étoile

Site Internet : https://lido2paris.com/fr/

Facebook : https://www.facebook.com/TheatreduLido

Instagram : https://www.instagram.com/lidoparis/

À partir du 24 avril 2025
Billetterie ouverte – réservez vite, le paquebot affiche déjà complet dans les autres villes ! Tout le monde à bord ! Et souvenez-vous : rien ne peut s’interposer entre Jack et Rose… à part Céline Dion.

Pendant une séance de dédicace, Jonathan Stanley se retrouve presque seul à son stand. Une mère de famille et créatrice de contenu TikTok, Taylor, émue par cette situation, décide de filmer la scène et la partager sur le réseau social, ignorant l’impact considérable que son geste aurait.

Une courte vidéo TikTok de dix secondes. C’est ce qui a suffi à Taylor Mae pour faire connaître cet auteur jusqu’alors méconnu. En quelques jours seulement, la vie de Jonathan Stanley prend un tournant inattendu, portée par l’enthousiasme des utilisateurs de TikTok. Jonathan Stanley, américain, travaille comme consultant en stratégie et marketing. Durant deux décennies, il a pu constater les comportements professionnels nocifs, devenus presque normaux, qui imprègnent notre environnement de travail. Suite à son licenciement, il traverse une période difficile. Après quelques semaines, il retrouve sa motivation et commence à rédiger son ouvrage, non par désir de reconnaissance, mais pour aider au moins une personne à transformer sa vision du monde professionnel. Son livre, Purposeful Performance, propose de restaurer l’aspect humain, le sens et l’authenticité dans le travail.

Dix secondes pour transformer un destin

Le 22 mars 2025, Jonathan tient une séance de dédicace dans une librairie Barnes & Noble en Pennsylvanie. Son livre ne rencontre pas l’audience espérée et peu de visiteurs s’arrêtent à son stand. Taylor Mae, professionnelle de santé et jeune mère, fait partie des rares personnes présentes. Accompagnée de sa fille Ella, elle aperçoit Jonathan, isolé derrière sa table, et ressent de l’empathie pour l’écrivain. Taylor décide d’enregistrer un court clip et de le diffuser sur TikTok, sans imaginer l’effet que son initiative aurait sur la vie de Jonathan.

Jonathan Stanley avec Taylor et sa fille Ella © Jonathan Stanley

Une vidéo devenue virale

Durant la nuit, le TikTok connaît un succès fulgurant, atteignant rapidement des centaines de milliers puis des millions de vues. Taylor contacte aussitôt Jonathan — qui n’utilise pas TikTok à ce moment — pour l’informer du phénomène. L’auteur gagne plus de 705 000 abonnés en moins d’une semaine, et la vidéo originale atteint près de 80 millions de vues aujourd’hui. Son ouvrage, Purposeful Performance, devient numéro un des ventes Amazon dans plusieurs catégories.

Profondément touché, l’écrivain réalise l’influence qu’un simple TikTok peut avoir. Il exprimera que cette expérience a ravivé sa « foi en l’humanité » et exprimera sa gratitude envers Taylor Mae pour son initiative bienveillante, ainsi qu’envers la communauté TikTok pour son soutien chaleureux. Une démonstration parfaite du potentiel positif des réseaux sociaux !

C’est en l’an 2000, au cœur de Cologne, que germe une idée simple et audacieuse : faire résonner les musiques du monde dans des lieux où on ne les attend pas. À l’origine de ce projet, l’activiste culturelle Birgit Ellinghaus, qui initie les premiers concerts mensuels de musique du monde au DOMFORUM sous le label « Klangkosmos ». Très vite, cette initiative locale rencontre un écho enthousiaste bien au-delà des frontières de la ville. Ce qui n’était au départ qu’un modeste cycle de concerts devient progressivement un réseau vivant et sans frontières, porté par une diversité d’acteurs culturels en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Associations musicales, centres socioculturels, municipalités, églises, petits théâtres… tous répondent présents pour accueillir ces musiques venues d’ailleurs, dans des lieux atypiques et parfois improvisés, loin des salles traditionnelles souvent peu ouvertes à ces sonorités insolites.

À une époque où le mot « réseau » n’avait pas encore la résonance qu’on lui connaît aujourd’hui, Klangkosmos s’est construit sans structures formelles, sans financements publics, mais avec une conviction profonde : celle de la valeur universelle de la musique. Ce maillage informel de partenaires a été rendu possible par une coopération sur un pied d’égalité, fondée sur l’échange, la curiosité culturelle et le respect mutuel. Dans cet esprit, une exigence a été posée dès le départ, et reste d’actualité : la simplicité technique. Les musiciens invités doivent pouvoir se produire avec un minimum d’équipement, car nombre de salles ne disposent ni de scène, ni d’amplification sophistiquée. Cela favorise une proximité rare entre artistes et public, où l’émotion acoustique prime sur l’effet spectaculaire.

Le cœur du projet Klangkosmos NRW, c’est l’accessibilité. En tissant des liens entre les salles de concert existantes à travers la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le réseau permet à tous — quelle que soit leur origine, leur foi, leur âge ou leur milieu social — d’assister à des concerts vivants, authentiques, et éducatifs. Dans l’agitation du quotidien, ces moments de musique offrent des bulles de rencontres, d’écoute, et de dialogue interculturel. Les musiques du monde ne sont pas seulement des sons lointains : elles sont locales et globales à la fois. Elles racontent des histoires, des parcours, des territoires. Klangkosmos invite à les découvrir non seulement par l’oreille, mais aussi par l’esprit, en offrant au public des contextes, des explications, des récits. Chaque concert est une aventure musicale — du Rajasthan à Haïti, de Bogota à Paris, des clubs londoniens aux plages de l’océan Indien.

Le réseau Klangkosmos NRW ne se limite pas à organiser des concerts. Il vise un engagement durable avec les musiques du monde à travers :

  • des rencontres acoustiques régulières, des ateliers et concerts interactifs,
  • une plateforme d’échange entre artistes internationaux et publics locaux,
  • des ressources accessibles sur les cultures musicales,
  • une réflexion critique sur les dimensions historiques, sociales, religieuses et géopolitiques de la musique.

Cette mission s’inscrit résolument dans les objectifs de l’UNESCO, dont la Convention sur la diversité des expressions culturelles et celle sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel soulignent l’importance des musiques traditionnelles comme vecteurs de diversité et acteurs du développement durable.

Alors que la mondialisation menace l’existence de nombreuses formes musicales traditionnelles, Klangkosmos œuvre activement pour leur transmission, leur promotion, et leur reconnaissance. Certaines des musiques présentées dans le cadre du réseau bénéficient d’une inscription spécifique au patrimoine immatériel de l’UNESCO, témoignant de leur richesse culturelle et de leur importance pour l’humanité.

Klangkosmos, c’est plus qu’un programme de concerts. C’est un mouvement artistique et culturel, né de la passion, construit sur la rencontre, et tourné vers l’avenir. Un cosmos sonore où chaque note raconte une histoire — et où la musique devient un pont entre les mondes.

Site internet : https://www.klangkosmos-nrw.de/start-klangkosmos.html

Cliquez ici pour écouter le podcast de l’émission des 25 ans de KlangKosmos diffuse sur WDR 3 (En Allemand) : https://www1.wdr.de/mediathek/audio/wdr3/open/world/audio-die-welt-bei-uns–jahre-klangkosmos-nrw-100.html

À Mougins, situé dans les Alpes-Maritimes, un samedi matin ensoleillé peut rapidement se transformer en un endroit bruyant. Avec le bruit des tondeuses à essence et des tronçonneuses, les niveaux de décibels s’élèvent rapidement, dérangeant ainsi le calme des résidents. Pour remédier à ces nuisances sonores, la municipalité a mis en place une initiative novatrice : financer l’acquisition d’outils de jardinage électriques, qui sont à la fois plus discrets et écologiques.

Qui est concerné ?

Cette initiative cible les 20 000 résidents de Mougins, réputée pour ses nombreuses maisons individuelles dotées de jardins. Les propriétaires d’équipements thermiques, souvent critiqués en raison de leur bruit excessif, sont fortement incités à opter pour des solutions électriques grâce à ce programme. De plus, les commerçants locaux s’engagent également dans cette démarche en simplifiant les procédures administratives nécessaires pour obtenir la subvention.

Comment l’assistance fonctionne-t-elle ?

La commune propose une aide financière pouvant atteindre 30 % du coût d’acquisition des outils de jardinage électriques. Seuls les équipements neufs peuvent bénéficier de cette initiative, et environ quarante demandes ont déjà été soumises depuis le début de ce programme. L’objectif de la ville est d’inciter un plus grand nombre de citoyens à adopter cette démarche.

Les procédures ont été grandement simplifiées : en magasin, un QR code permet de compléter les formulaires requis, qui peuvent ensuite être envoyés directement à la mairie. Une fois approuvée, la subvention est rapidement versée.

Pourquoi est-ce essentiel ?

Christophe Ulivieri, le premier adjoint au maire, souligne sur France 3 que l’intention est d’ « améliorer la qualité de vie des résidents ». Le son généré par une tondeuse à essence peut facilement atteindre 70 décibels, comparable au bruit d’un klaxon de voiture. En plus d’améliorer le confort acoustique, ces outils électriques contribuent également à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Une initiative en phase d’essai

L’initiative, qui sera active pendant une période d’un an, fera l’objet d’une évaluation afin d’analyser son influence sur la vie quotidienne des résidents. Si elle s’avère fructueuse, elle pourrait servir de référence pour d’autres municipalités en France.

Grâce à cette initiative, Mougins démontre qu’il est envisageable d’harmoniser bien-être, transition énergétique et considération pour le voisinage. Et si ces actions modestes annonçaient le commencement d’une transformation majeure ?

Avec In Between, son nouvel album, la chanteuse américano-perse Elana Sasson réinvente les frontières de la musique en mêlant poésie persane, chants kurdes, jazz contemporain et rythmes latins. Une œuvre intime et audacieuse qui explore les vertiges de l’identité, du déracinement et de l’appartenance.

C’est un disque à la croisée des mondes. Une œuvre subtile et profondément personnelle, où les territoires musicaux se superposent, s’entrelacent, et parfois même se confrontent. In Between, le nouvel album de la chanteuse et compositrice Elana Sasson, paraîtra le 18 avril 2025 sur le label PKMusik. Mais déjà, il s’impose comme l’un de ces rares projets capables de faire dialoguer les traditions ancestrales et les langages du jazz contemporain sans jamais les trahir. Avec sa voix lumineuse et envoûtante — que le magazine britannique Songlines a saluée comme “d’une beauté saisissante” — Elana Sasson nous propose bien plus qu’un disque : un voyage intérieur, une quête sonore, presque une cartographie de l’âme entre les montagnes du Kurdistan, les vers des poètes persans, et les clubs de jazz de New York.

Née aux États-Unis dans une famille d’origine perse et kurde, Elana Sasson a grandi bercée par ces héritages multiples. D’un côté, les mélodies poignantes des chants kurdes transmis oralement, de l’autre, les textes d’une poésie persane d’une richesse inépuisable. Mais aussi, en toile de fond, l’éducation jazz reçue au fil des années, les harmonies complexes, les improvisations libres et les rythmes syncopés.

In Between — “Entre les deux” — porte donc un titre évocateur. Celui d’une position géographique et existentielle. Ni tout à fait d’ici, ni tout à fait de là-bas. Entre l’intimité des racines et l’ouverture des voyages. Entre la mémoire et l’invention.

Car cet album est d’abord né d’une interrogation récurrente chez les artistes issus de diasporas : comment habiter plusieurs cultures sans en effacer aucune ? Comment faire coexister l’intime et l’universel ? Comment traduire musicalement le sentiment de “placelessness” — ce vertige d’être partout et nulle part à la fois ?

Aux côtés de la chanteuse, un groupe international et complice donne vie à cette ambition artistique rare. Santiago Bertel, pianiste et co-producteur du projet, tisse des harmonies subtiles, parfois inspirées des modes orientaux, parfois ancrées dans le jazz moderne. Manos Stratis (contrebasse) et Victor Goldschmidt (batterie) imposent un groove précis, agile, souvent traversé de mesures asymétriques inspirées des musiques traditionnelles du Moyen-Orient. À cet ensemble s’ajoutent des invités spéciaux, dont les interventions viennent colorer certains morceaux d’accents inattendus, entre rythmes latins et textures contemporaines.

Le résultat ? Une musique “liminale”, au sens le plus noble du terme. Une musique des seuils, des passages, des frontières franchies. Une musique qui assume pleinement ses contrastes : tantôt tendre et minimaliste, tantôt foisonnante et dansante, mais toujours habitée par la même quête de sincérité.

L’un des fils rouges de In Between reste sans conteste l’amour d’Elana Sasson pour la poésie persane. Certains morceaux s’appuient sur des textes anciens, portés par les géants de la littérature iranienne. D’autres, plus personnels, évoquent en anglais les tensions intimes du déracinement, de l’exil ou du retour impossible.Là où d’autres projets auraient pu sombrer dans le patchwork ou l’exercice de style, In Between trouve au contraire une cohérence et une unité grâce à cette présence poétique constante. La voix d’Elana Sasson ne se contente pas de chanter : elle raconte, elle murmure, elle invoque les mémoires invisibles.

Avec cet album, Elana Sasson s’inscrit dans la lignée des grandes voix féminines du jazz et des musiques du monde qui savent réinventer les traditions sans les figer. Mais In Between n’est que la dernière étape en date d’un parcours déjà impressionnant.Au fil des années, Elana Sasson a multiplié les collaborations et les explorations musicales. On la retrouve aussi bien aux côtés de groupes de musiques du monde que sur les scènes jazz les plus exigeantes. Ses précédentes productions avaient déjà esquissé les contours de cette esthétique hybride : un premier EP intimiste salué pour sa sensibilité vocale, puis un album plus expérimental flirtant avec les musiques électroniques.Mais jamais, sans doute, elle n’avait poussé aussi loin l’idée d’un métissage sonore et identitaire total.

Avec In Between, Elana Sasson affirme sa singularité : celle d’une artiste libre, curieuse, et profondément ancrée dans l’époque. Une musicienne qui fait dialoguer les langues, les rythmes et les mémoires. Une voix rare, suspendue entre les mondes — mais parfaitement à sa place.

Bio express

Chanteuse, compositrice et exploratrice sonore, Elana Sasson est née aux États-Unis dans une famille d’origine perse et kurde. Nourrie dès l’enfance par les musiques traditionnelles du Moyen-Orient, elle découvre ensuite le jazz, qu’elle étudie et pratique avec passion.

Son premier EP, remarqué pour sa délicatesse et sa voix lumineuse, lui ouvre les portes de nombreuses collaborations. Elle enchaîne alors concerts, résidences et projets transdisciplinaires, naviguant entre musiques du monde, jazz et expérimentations vocales.

En 2020, elle sort Liminal Spaces, un album conceptuel déjà habité par les questions d’identité et de frontières culturelles.

Avec In Between, Elana Sasson poursuit et amplifie ce travail d’orfèvre. Entourée de musiciens talentueux et cosmopolites, elle propose une musique à la fois savante et accessible, ancrée dans ses racines mais résolument tournée vers demain.

Elana Sasson Online

Website Bio : https://elanasasson.com/about

YouTube : https://www.youtube.com/@elanasasson

Instagram : https://www.instagram.com/elanasasson/

Bandcamp : https://elana-sasson.bandcamp.com/

Facebook:https ://www.facebook.com/profile.php?id=100071504900505

Souffrant d’une surdité profonde, David Le Gendre a développé une passion extraordinaire pour la musique depuis son plus jeune âge : grâce à l’enseignement dévoué de ses professeurs et son amour indéfectible pour l’art musical, il est parvenu à devenir chef d’orchestre au sein d’une association culturelle locale.

La musique fait partie intégrante de sa vie depuis son enfance. Aujourd’hui à la tête d’un orchestre dans une association de sa région, David Le Gendre se distingue des autres musiciens par son parcours unique.

Le « Beethoven poitevin »

Né avec une surdité sévère, sa vie prend un tournant décisif lorsque sa mère lui offre un piano durant son enfance. « En famille, nous assistions à des concerts et nous nous rendions dans des endroits où le bois était présent pour ressentir les vibrations. Je les percevais et j’étais curieux de comprendre leur origine, de découvrir ces musiques car, étant petit, tout cela m’était inconnu. Le jour où ma maman m’a offert un piano, j’ai été fasciné : on m’a parlé d’un musicien sourd, Beethoven, qui jouait du piano. Alors, je me suis lancé sans hésiter« , se souvient David.

Il commence alors à suivre des cours. « Au début, je ne maîtrisais pas la lecture du solfège, j’avais besoin d’un support visuel pour jouer, particulièrement avec les touches« , confie-t-il. « J’ai mémorisé l’intégralité. » Cependant, la théorie et la pratique peuvent présenter des écarts significatifs. « J’ai simplement appliqué ma méthode d’enseignement, comme je l’aurais fait avec n’importe quel élève entendant. David a la chance d’être exceptionnellement réactif et d’avoir une excellente lecture : toutefois, il y avait une difficulté majeure avec le rythme« , explique Julien Queriaud, son professeur de piano. « Nous avons consacré deux années à travailler sur la pulsation corporelle, notamment en utilisant le corps comme instrument rythmique. »

David Le GENDRE dirige un orchestre photo de Mathieu MAILLET France Télévisions

« David n’entend pas, mais il écoute ».

Après une formation approfondie en piano, David Le Gendre décide de relever un nouveau défi : celui de devenir chef d’orchestre. C’est lors de cette transition qu’il fait la connaissance de Stéphane Bonneau aux Ateliers musicaux Syrinx de Poitiers.

« Lors de notre première rencontre, il s’est enquis de mes compétences en piano… Nous avons longuement échangé sur nos aspirations mutuelles, et j’ai saisi l’opportunité de lui demander s’il pouvait m’enseigner la direction d’orchestre. Sa réponse positive m’a encouragé à me lancer dans cette aventure. Les débuts ont été particulièrement complexes : je me sentais désorienté, car la maîtrise des codes gestuels nécessite un entraînement intensif. Il fallait non seulement comprendre mais aussi intérioriser tout le langage des mains, » se remémore David.

« L’ambiance bienveillante au sein du groupe et de l’association crée une dynamique naturelle et harmonieuse. »

Stéphane Bonneau
Professeur d’orchestration pour David Le Gendre

Malgré son handicap auditif, Stéphane Bonneau guide David avec dévouement dans son parcours d’apprentissage.

« Au départ, on s’interroge, on expérimente, on observe l’évolution… Aujourd’hui, après plusieurs mois, ses performances s’améliorent constamment, ce qui nous encourage à poursuivre cette belle aventure, » explique son professeur.

« Contrairement aux idées reçues, David, bien qu’il n’entende pas physiquement, possède une écoute exceptionnelle. La musique devient alors un véritable dialogue, un langage universel qui transcende les barrières. L’atmosphère bienveillante qui règne dans le groupe et l’association permet une progression naturelle et fluide. »

Les membres de l’association expriment leur admiration, qualifiant l’expérience de « véritablement extraordinaire« . « Lorsque Stéphane nous a présenté ce projet d’avoir un chef d’orchestre sourd, nous avons ressenti un mélange d’émotions : l’excitation face à ce défi unique, mais aussi une certaine appréhension quant à la manière dont il pourrait nous diriger sans nous entendre« , confie Flore, une participante active de l’association. Nicole, une autre membre, souligne la transformation significative. « Notre ensemble existe depuis longtemps, et nous étions profondément habitués à notre ancien chef d’orchestre, avec nos automatismes bien établis. L’arrivée d’un nouveau chef, débutant qui plus est, avec sa propre sensibilité, nous a énormément apporté en termes d’écoute et d’attention aux gestes. Nous évoluons ensemble dans cet apprentissage mutuel. »

« Mon grand rêve, ce serait d’être chef d’orchestre »

Depuis plusieurs mois maintenant, David Le Gendre assume la direction de cet orchestre associatif, une expérience qu’il décrit comme singulière. « Durant la direction, je perçois les vibrations musicales. Elles commencent par mes orteils, remontent doucement à travers mes pieds. Ne pouvant pas entendre la musique conventionnellement, j’ai dû mémoriser tous les conseils techniques concernant le son. Cela demande un entraînement considérable. Ma direction repose essentiellement sur le visuel, mon regard doit être omniscient. »

Ayant atteint cette première étape, David Le Gendre aspire désormais à partager son expertise. « Je milite pour une égalité totale entre les personnes sourdes et entendantes. Je suis convaincu que chacun peut s’essayer à la musique, c’est un domaine ouvert à tous. Mon souhait est de transmettre cette passion aux jeunes générations et aux adultes intéressés par le piano, la guitare, la batterie, ou même la direction d’orchestre ! La passion prime sur le temps investi. » Actuellement, ce virtuose atypique poursuit son objectif d’obtenir un diplôme d’enseignant de piano et de musique. « Mais mon aspiration ultime reste de devenir chef d’orchestre« , conclut David Le Gendre.

Le 30 mars 2025, les passagers du catamaran Atalaya garderont en mémoire une journée marquante. Lors de cette sortie en mer, orchestrée par la société Explore Ocean, ils ont eu la chance d’assister à un phénomène extraordinaire : deux jeunes rorquals ont été aperçus au large de la côte basque.

Sophie Preato, qui fait partie d’Explore Ocean, a exprimé son enthousiasme sans réserve. Dans une interview accordée à Ici,, elle déclare : « C’est une opportunité unique, un instant extraordinaire ». La présence de ces cétacés dans ces eaux est peu fréquente, ce qui rend cette observation encore plus impressionnante.

Une réunion au cœur de la saison d’exploration

Cette première sortie d’Explore Ocean marque le début d’une nouvelle saison de navigations au départ d’Hendaye. Les passagers du catamaran, qui explore l’Atlantique lors d’excursions de huit heures, ont également eu l’occasion d’observer un groupe de dauphins. Ce double spectacle naturel a transformé cette première sortie en un véritable succès.

Ces excursions en mer offrent l’opportunité d’observer la vie marine tout en sensibilisant à la vulnérabilité de ces écosystèmes. De telles observations soulignent l’importance de protéger ces milieux naturels pour les générations à venir.

Qu’est-ce qui rend cet événement si exceptionnel ?

Les petits rorquals, même s’ils se trouvent dans divers océans, sont peu fréquemment observés dans les eaux du Pays basque. Leur apparition pourrait être associée à des éléments environnementaux ou climatiques particuliers. Ces occasions constituent une chance précieuse pour approfondir notre compréhension de leur comportement et de leur habitat.

Une toile signée par Eugene Delacroix, illustrant des lions dans diverses postures, a été mise en vente aux enchères à Paris le vendredi 28 mars. Cette œuvre avait été découverte dans une demeure d’Indre-et-Loire en décembre.

Les études de lions couchés, une toile à l’huile signée par Eugene Delacroix, a été adjugée pour 455 000 € (frais inclus) lors d’enchères à Paris, le vendredi 28 mars 2025, selon ici Touraine. Cette œuvre, dont l’estimation variait entre 200 000 et 300 000 €, avait été retrouvée en décembre dans une habitation d’Indre-et-Loire. Elle sera intégrée à une collection à l’étranger.

La maison de ventes aux enchères Daguerre, qui exposait l’œuvre, a publié une image sur ses réseaux sociaux :

Le tableau, mesurant 61 cm de hauteur et 50 cm de largeur, illustre sept postures de lions, soit paisibles soit endormies. « Une étude à l’huile de Delacroix est extrêmement rare. Cet artiste réalisait principalement ses études au fusain. Ici, elle est faite de petites touches de pinceau très délicates. Nous n’avions pas connaissance de telles études de sa part, » a commenté le commissaire-priseur Malo de Lussac, interrogé par l’ Agence France-Presse (AFP). En revanche, son intérêt pour le lion était bien connu. Eugène Delacroix est surtout célèbre pour sa Liberté guidant le peuple.

Découvert de manière inattendue dans une habitation en Indre-et-Loire

L’œuvre a été découverte par hasard lors d’un inventaire dans une maison près de Tours. « Le tableau était présenté dans un salon de la maison familiale », a déclaré le commissaire-priseur. « Les propriétaires n’étaient pas certains qu’il s’agissait d’un Delacroix : lorsque je suis entré dans le salon, son magnétisme a immédiatement capté mon attention. C’était très touchant. On trouve souvent des œuvres de Delacroix dans les musées, mais très rarement en possession de particuliers », a-t-il souligné.