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Les 24 Heures du Myon est bien plus qu’une simple course de voitures à pédales. C’est un événement emblématique qui allie compétition, convivialité et créativité, attirant des participants de tous âges et de tous horizons. Préparez-vous à plonger dans l’univers coloré et dynamique de cette course qui se déroulera à nouveau le samedi 07 juin 2025 à 16h00 (départ) jusqu’au dimanche 08 juin 2025 16h00 (arrivée) à Saint-Myon (63)
Une Tradition Ancrée dans la Communauté
L’Origine de l’Événement
Les 24 Heures du Myon ont vu le jour dans le charmant village de Saint-Myon, situé dans le département du Puy-de-Dôme. Organisée par l’association Vol Quand-même, cette course a été conçue pour rassembler les habitants et les visiteurs autour d’une activité ludique et festive. Chaque année, l’événement attire des équipes prêtes à relever le défi de parcourir le plus de tours possible en 24 heures.
LES CHAMPIONS DES 24H DU MYON depuis 2010


Un Événement Familial
L’une des particularités des 24 Heures du Myon est son ambiance familiale. Les participants, qu’ils soient petits ou grands, peuvent s’impliquer dans la course, que ce soit en tant que coureurs ou en tant que supporters. Les familles se rassemblent pour encourager leurs équipes, créant ainsi un esprit de camaraderie et de solidarité.
Des Spectacles Éblouissants
Une Scène Animée
En plus de la course, les 24 Heures du Myon proposent une programmation artistique riche et variée. Des artistes locaux et nationaux se produisent tout au long de l’événement, offrant des spectacles de musique, de danse et de théâtre. Cette année, la 14ème édition promet d’être encore plus spectaculaire, avec des performances qui raviront tous les spectateurs.
Un Événement Inclusif
L’événement est conçu pour être accessible à tous. Les organisateurs veillent à ce que chaque participant, quel que soit son âge ou ses capacités, puisse profiter des activités proposées. Des zones de détente, des ateliers créatifs et des animations pour les enfants sont également mis en place pour garantir une expérience inoubliable.
Un Événement Écoresponsable
Sensibilisation à l’Environnement
Les 24 Heures du Myon s’engagent également en faveur de l’environnement. Des initiatives sont mises en place pour réduire l’empreinte écologique de l’événement, telles que le tri des déchets et l’utilisation de matériaux recyclables. Les organisateurs encouragent également les participants à adopter des comportements écoresponsables tout au long de la course.
Un Impact Positif sur la Communauté
En soutenant des projets locaux et en sensibilisant les participants aux enjeux environnementaux, les 24 Heures du Myon contribuent à renforcer le tissu social de la région. Cet événement est une occasion unique de rassembler les gens autour de valeurs communes telles que la solidarité et le respect de l’environnement.
Les 24 Heures du Myon sont bien plus qu’une simple course de voitures à pédales. C’est un événement qui célèbre la communauté, l’art et l’engagement envers l’environnement. Que vous soyez participant ou spectateur, cet événement promet d’être une expérience inoubliable. Ne manquez pas la prochaine édition en 2025 et rejoignez-nous pour vivre cette aventure unique à Saint-Myon !
Pour plus d’informations sur les 24 Heures du Myon, n’hésitez pas à contacter l’association Vol Quand-même à l’adresse suivante vqm@hotmail.fr. Vous pouvez également suivre les actualités de l’événement sur les réseaux sociaux pour rester informé des dernières nouveautés et des artistes présents cette année.
Dans le monde des légumes, la carotte se distingue par sa couleur vive et sa saveur douce qui en fait un favori des petits et grands. Mais au-delà de son goût agréable et de sa présence incontournable dans nos cuisines, la carotte cache une histoire fascinante et des vertus insoupçonnées qui méritent d’être mises en lumière.Cet article plonge dans les racines de ce légume croquant pour explorer son voyage à travers les âges, depuis son origine sauvage dans les terres d’Asie Centrale jusqu’à sa domestication et son statut de super-aliment dans nos assiettes contemporaines. Nous découvrirons comment la carotte a conquis le monde avec ses multiples variétés, comment elle a influencé l’histoire et même la politique, et comment elle continue d’inspirer les chefs et les nutritionnistes. Préparez-vous à être surpris par les anecdotes colorées et les faits nutritifs qui rendent la carotte bien plus qu’un simple ingrédient de salade : un véritable trésor sous terre.
Origines – Les carottes (Daucus carota) sont originaires d’Asie centrale et orientale, où elles étaient cultivées à l’état sauvage depuis des millénaires. Elles étaient à l’origine cultivées pour leurs feuilles et leurs graines, plutôt que pour leurs racines. Les premières carottes cultivées ressemblaient plus à des carottes sauvages et avaient une couleur pourpre ou blanche. Au fil du temps, grâce à la sélection naturelle et à l’intervention humaine, les carottes ont évolué pour devenir les légumes orange et croquants que nous connaissons aujourd’hui.
Culture – La carotte est une plante bisannuelle qui appartient à la famille des Apiacées (ombellifères).Elle se développe généralement dans des sols bien drainés et riches en matière organique. Pour réussir sa culture, un sol meuble et exempt de cailloux est indispensable, permettant ainsi aux racines de s’épanouir librement. Généralement semées directement en pleine terre, les carottes requièrent une préparation minutieuse du sol, incluant son décompactage et son désherbage, afin de favoriser une croissance optimale. Sensibles à la concurrence des mauvaises herbes, les carottes nécessitent un désherbage régulier pour garantir leur développement. La récolte s’effectue généralement entre 2 et 4 mois après le semis, variant selon la variété cultivée.La culture de la carotte illustre un modèle agricole durable, mettant en avant des pratiques respectueuses de l’environnement et contribuant à la préservation des ressources naturelles. Parmi les aspects écologiques positifs de cette culture, la rotation des cultures joue un rôle essentiel, permettant de maintenir la fertilité des sols et de réduire les risques de maladies et de ravageurs.Par ailleurs, les méthodes d’irrigation goutte à goutte et d’optimisation de l’humidité du sol favorisent une utilisation efficace de l’eau, tandis que la gestion intégrée des ravageurs limite l’utilisation de pesticides chimiques, privilégiant des alternatives plus respectueuses de l’environnement. En favorisant la biodiversité à travers la conservation d’habitats naturels, la culture de la carotte contribue également à soutenir les écosystèmes locaux.
En adoptant des pratiques agricoles durables telles que la conservation des sols et la réduction des émissions de carbone, les producteurs de carottes participent activement à la préservation de l’environnement et à la promotion d’une agriculture plus respectueuse de la planète. La culture de la carotte incarne ainsi un exemple inspirant de l’harmonie entre l’homme et la nature, démontrant qu’il est possible de cultiver des aliments de manière écologiquement responsable pour assurer une sécurité alimentaire durable pour les générations futures.
Le role des carottes dans l’économie – La carotte joue un rôle significatif dans l’économie mondiale en tant que culture agricole importante et en raison de sa polyvalence dans l’agro-industrie. Voici quelques points illustrant son importance économique :
La carotte est l’une des cultures les plus cultivées au monde, avec des millions de tonnes produites chaque année. Des pays comme la Chine, les États-Unis, la Russie, l’Inde et plusieurs pays européens sont parmi les principaux producteurs.
Elles sont utilisées dans une variété de produits alimentaires transformés, tels que les conserves, les jus, les purées, les sauces et les soupes. Leur utilisation dans l’industrie agroalimentaire contribue à stimuler l’économie locale et nationale en créant des emplois dans la production, la transformation et la distribution de ces produits.
De nombreux pays exportent et importent des carottes et des produits dérivés. Les exportations de carottes peuvent être une source importante de revenus pour les pays producteurs, tandis que les importations permettent aux pays de répondre à la demande intérieure tout au long de l’année, en particulier dans les régions où la production locale est saisonnière.
La culture de la carotte offre des opportunités économiques aux agriculteurs locaux, en particulier dans les régions où le climat et les sols sont propices à sa croissance. La vente de carottes sur les marchés locaux et régionaux peut soutenir les agriculteurs familiaux et renforcer les économies locales.
Les carottes sont utilisées comme matière première dans diverses industries de transformation alimentaire, telles que la production de jus, de conserves et de produits surgelés. Ces industries contribuent à l’économie en créant des emplois dans la transformation, la distribution et la commercialisation des produits finis.
En résumé, la carotte occupe une place importante dans l’économie mondiale en tant que culture agricole clé et ingrédient polyvalent dans l’industrie agroalimentaire. Son impact positif sur l’économie locale et mondiale se manifeste à travers sa production, sa transformation et sa distribution, soutenant ainsi les moyens de subsistance des agriculteurs, créant des emplois et contribuant à la sécurité alimentaire mondiale.
Variétés – Il existe de nombreuses variétés de carottes, allant des classiques orange aux violettes, blanches et jaunes. Parmi les variétés populaires, on trouve :
– Carotte Nantaise : une variété française classique, connue pour sa forme cylindrique et son goût sucré.
– Carotte Jaune du Doubs : une variété jaune vif, avec une chair tendre et légèrement sucrée.
– Carotte Chantenay : une variété plus courte et conique, adaptée aux sols argileux.
– Carotte Cosmic Purple : une variété violette, riche en antioxydants et au goût légèrement épicé.
Tout est bon dans la carotte – Les carottes, ces légumes vibrants et croquants, ont conquis les assiettes du monde entier avec leur saveur délicieusement sucrée et leur polyvalence culinaire. Mais au-delà de leur attrait gustatif, les carottes se révèlent être de véritables alliées de la santé. Riches en nutriments essentiels, elles offrent une panoplie de bienfaits qui contribuent à notre bien-être général. De la vision à la santé cardiaque, en passant par l’immunité et la peau éclatante, plongeons dans les multiples vertus de ce légume racine emblématique. »
– Elles sont une excellente source de vitamine A, essentielle pour la santé des yeux, de la peau et du système immunitaire.
– Elles sont riches en fibres alimentaires, favorisant la digestion et le transit intestinal.
– Le bêta-carotène présent dans les carottes est un puissant antioxydant qui peut aider à réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de certains cancers.
– Les carottes contiennent également des composés phytochimiques tels que les polyacétylènes, qui ont des propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes.
En conclusion, les carottes sont non seulement délicieuses et polyvalentes en cuisine, mais elles offrent également de nombreux avantages pour la santé. Leur culture est relativement simple et elles peuvent être cultivées dans de nombreux climats, ce qui en fait un choix idéal pour tout jardinier amateur ou professionnel.
L’art des carottes – Plongez maintenant dans un monde où les racines oranges deviennent des sources d’inspiration sans limites pour les esprits créatifs. Les carottes, souvent reléguées au rang de simples légumes dans nos cuisines, ont en réalité captivé l’imagination des artistes, des écrivains, des chansonniers et même des poètes. Bien que peut-être moins fréquentes que d’autres sujets, les carottes ont indéniablement trouvé leur place dans le vaste paysage de la créativité humaine. Leurs formes sinueuses, leurs couleurs vives et leurs textures invitantes ont été célébrées à travers une multitude de formes d’expression artistique. Des peintures éclatantes aux sculptures éloquentes, en passant par des compositions abstraites et des œuvres alimentaires spectaculaires, les carottes ont conquis leur propre espace dans le monde de l’art visuel. Découvrons ensemble quelques artistes qui ont transformé ces modestes légumes en sujets d’inspiration infinie, façonnant ainsi un monde où la créativité n’a aucune limite. Voici quelques artistes qui ont peint ou dessiné des œuvres inspirées par les carottes :
Giuseppe Arcimboldo : Cet artiste italien de la Renaissance est célèbre pour ses portraits composés d’éléments de la nature, tels que des fruits, des légumes, des fleurs et des animaux. Dans ses œuvres, les carottes peuvent être intégrées comme partie du visage ou du corps, apportant une touche ludique et imaginative à ses compositions.
Vincent van Gogh : Bien que principalement connu pour ses paysages et ses natures mortes, van Gogh a également peint des carottes dans certaines de ses œuvres. Son style expressif et coloré capture souvent la vitalité et la texture des légumes, comme dans son tableau « Nature morte aux carottes » où les carottes sont représentées avec des traits vifs et des couleurs vibrantes.
Paul Cézanne : Autre maître de la peinture impressionniste, a également exploré le thème des natures mortes, y compris des compositions avec des carottes. Dans ses œuvres, les carottes peuvent être intégrées dans des arrangements avec d’autres fruits et légumes, capturant la simplicité et la beauté de ces objets de la vie quotidienne.
Georgia O’Keeffe : Cette artiste américaine du XXe siècle est surtout connue pour ses peintures de fleurs, mais elle a également peint des natures mortes incluant des légumes, dont des carottes. Dans ses œuvres, les carottes sont souvent représentées de manière abstraite, avec des formes organiques et des couleurs intenses qui mettent en valeur leur beauté naturelle.
Andy Warhol : Artiste du mouvement pop art a également utilisé les carottes comme sujet dans certaines de ses œuvres. Dans sa série d’œuvres alimentaires, Warhol a transformé des objets de la vie quotidienne en icônes artistiques, y compris des carottes, qu’il a représentées dans son style distinctif de couleurs vives et de motifs répétitifs.Ces artistes ont chacun apporté leur propre vision et interprétation des carottes dans leurs œuvres, qu’il s’agisse de les intégrer dans des compositions plus traditionnelles ou de les utiliser comme éléments de créativité et d’expression artistique.
Les carottes ont parfois été mentionnées dans la littérature, que ce soit dans des romans, des poèmes ou des contes. Elles peuvent être utilisées comme métaphore ou symbole, ou simplement comme élément de description dans une scène. Certains écrivains ont peut-être intégré les carottes dans leurs œuvres pour ajouter une touche de réalisme ou pour évoquer des concepts liés à la croissance, à la nourriture ou à la santé.
Peter Rabbit (Beatrix Potter) : Dans ce conte pour enfants classique, Pierre Lapin est un personnage qui vit de nombreuses aventures dans le jardin de Monsieur McGregor. Les carottes sont l’une des friandises préférées de Pierre Lapin, et elles jouent un rôle important dans l’intrigue alors qu’il tente de les voler dans le jardin.
Les Carottes (Louis Aragon) : Ce poème du célèbre poète français Louis Aragon évoque les carottes dans une métaphore sur l’amour et la passion. Dans le poème, les carottes sont utilisées comme symbole de désir et de tentation, illustrant les thèmes de l’attraction et de la sensualité.
Le Jardin secret (Frances Hodgson Burnett) : Ce roman pour enfants raconte l’histoire d’une jeune fille nommée Mary Lennox qui découvre un jardin secret négligé sur la propriété de son oncle. Dans le jardin, elle cultive des légumes, y compris des carottes, qui symbolisent le renouveau et la croissance personnelle pour les personnages.
Alice au pays des merveilles (Lewis Carroll) : Dans ce conte fantastique, Alice rencontre de nombreux personnages et découvre des paysages étranges lors de son voyage au pays des merveilles. Les carottes sont mentionnées dans le livre, notamment lorsqu’Alice se retrouve dans le jardin de la Reine de Cœur, où elle est témoin de la récolte de carottes.
Anne of Green Gables (Lucy Maud Montgomery) : Ce roman raconte l’histoire d’Anne Shirley, une jeune orpheline adoptée par Matthew et Marilla Cuthbert. Dans le livre, les carottes sont cultivées dans le jardin de Green Gables et font partie intégrante de la vie quotidienne des personnages.
La carotte (Théophile Gautier) : Un poème où la carotte est évoquée dans un contexte de nature et de simplicité, souvent associée à des idées de croissance et de vitalité.
La Carotte (Marceline Desbordes-Valmore) : Un poème qui utilise probablement la carotte comme une métaphore pour quelque chose de désirable ou d’utile dans la vie quotidienne, mais il peut être interprété de différentes manières en fonction du lecteur.
Ode à la carotte (Victor Hugo) : Un poème qui pourrait célébrer les vertus de ce légume souvent sous-estimé, en le présentant comme un objet de beauté et de vitalité.
The Carrot (Helen Gray Cone) : Un poème qui peut explorer les aspects symboliques de la carotte, peut-être en la comparant à des qualités humaines ou en utilisant son image pour illustrer une idée plus large.
Lines Written While Eating Carrots (John Hollander) : Un poème qui joue avec l’idée de la simplicité et de la banalité de manger des carottes, mais qui pourrait aussi explorer des thèmes plus profonds liés à la vie quotidienne.
Ces poèmes offrent un éventail d’interprétations possibles et peuvent être appréciés pour leur utilisation créative de la carotte comme sujet ou comme métaphore. Ces exemples montrent comment les carottes sont intégrées dans la littérature à travers différentes époques et genres, que ce soit comme éléments de l’intrigue, symboles thématiques ou simples détails de la vie quotidienne des personnages.
Bien que moins courant, il existe également des chansons qui font référence aux carottes. Ces références peuvent être directes ou métaphoriques, et les carottes peuvent symboliser différentes choses en fonction du contexte de la chanson. Parfois, les carottes sont utilisées dans des paroles pour leur sonorité ou leur association avec des concepts tels que la santé, la croissance ou la simplicité.Voici quelques chansons qui font référence aux carottes, ainsi que les artistes qui les ont interprétées :
Carrot Juice Is Murder (The Arrogant Worms) : Cette chanson humoristique du groupe canadien The Arrogant Worms aborde le sujet de la consommation de carottes d’un point de vue satirique, en jouant sur le contraste entre la perception des légumes comme des aliments sains et le point de vue des carottes elles-mêmes sur leur sort.
Rabbit Heart (Raise It Up) (Florence + The Machine) : Bien que le titre de la chanson ne mentionne pas directement les carottes, les paroles incluent la phrase « I must become the lion-hearted girl / Ready for a fight / Before I make the final sacrifice », faisant allusion à l’idée d’être courageux comme un lion, qui est souvent associé aux carottes dans la culture populaire.
Hare Krishna (Janis Joplin) : Dans cette chanson de Janis Joplin, la célèbre chanteuse de rock évoque brièvement les carottes dans les paroles, en chantant : « I’m just an ordinary person but I’m told I’m in season / Of course I’ve got the carrots but that’s no f**kin’ reason. »
« The Carrot Song (John Lithgow) : Cette chanson pour enfants est interprétée par l’acteur et musicien John Lithgow. Elle met en avant les bienfaits et la diversité des carottes de manière ludique et éducative.
« Crazy Carrot » par Yo Gabba Gabba! (feat. Weird Al Yankovic) : Cette chanson, destinée aux enfants, est interprétée dans l’émission pour enfants « Yo Gabba Gabba! » et met en avant une carotte dansante et chantante
La Carotte (Les Charlots) : Cette chanson du groupe comique français Les Charlots est une ode humoristique à la carotte. Elle décrit les différentes manières de cuisiner et de consommer les carottes, avec des paroles légères et fantaisistes.
La Carotte (Renan Luce) : Dans son album « D’une tonne à un tout petit poids », Renan Luce présente une chanson intitulée « La Carotte ». Dans cette chanson, il utilise la métaphore de la carotte pour évoquer des sentiments de frustration et de déception dans une relation amoureuse.
Sous les Carottes (Alex Beaupain) : Cette chanson de l’auteur-compositeur-interprète français Alex Beaupain aborde le thème des secrets et des mensonges, avec une référence aux carottes dans son titre. Elle fait partie de son album « Après moi le déluge » sorti en 2013.
La Chanson des Carottes (Les Wriggles) : Ce groupe français propose une chanson humoristique sur les carottes, dans laquelle les paroles fantaisistes évoquent différentes situations impliquant des carottes. La chanson est interprétée avec un ton léger et ludique, caractéristique des chansons des Wriggles.
La Danse des Carottes (Henri Des) : Cette chanson pour enfants du chanteur français Henri Des invite les enfants à danser sur une musique entraînante tout en évoquant de manière ludique les carottes. Elle fait partie de l’album « Tous en cœur » sorti en 2000.
Les chansons évoquant les carottes ne soient pas aussi nombreuses que d’autres sujets dans la musique francophone, ces exemples montrent comment les carottes peuvent être utilisées comme source d’inspiration pour créer des chansons humoristiques, poétiques ou destinées au jeune public.
En résumé, bien que les carottes ne soient peut-être pas le sujet le plus courant dans l’art, la littérature, la musique ou la poésie, elles ont néanmoins inspiré certains artistes à travers les âges. Leur présence dans ces domaines peut refléter la diversité et la richesse de l’inspiration humaine, qui peut trouver de la beauté et de la signification même dans les éléments les plus simples de la nature.
Carottes et citations – Les carottes, ces humble légumes racines, ont inspiré des proverbes, des dictons et des citations à travers les siècles. Symboles de vitalité, de croissance et même de sagesse, les carottes ont trouvé leur place dans le langage courant, tant pour leur valeur nutritive que pour leur potentiel métaphorique. Des expressions telles que « les carottes rendent aimables » ou « avoir la carotte » témoignent de la richesse culturelle et linguistique associée à ce légume souvent sous-estimé. Dans cette exploration, nous plongerons dans le monde fascinant des citations sur les carottes, révélant les multiples façons dont ce humble légume a influencé notre langage et notre pensée collective.
Quand on me parle d’une femme cultivée ; je l’imagine avec des carottes dans les oreilles et du cerfeuil entre les doigts de pied (Sacha Guitry)
Je veux bien éplucher le lapin, mais pas les carottes ! (Jean-Claude dans Dikkenek)
Tu vois, la liberté c’est de pouvoir manger des carottes rapées dans l’emballage (Patrick dans Camping)
Le jardinier peut décider de ce qui convient aux carottes, mais nul ne peut choisir le bien des autres à leur place (Jean-Paul Sartre)
On peut ne pas aimer les carottes, les salsifis, la peau du lait cuit. Mais le vin ! Autant voudrait-on détester l’air qu’on respire, puisque l’un et l’autre sont également indispensables (Marcel Aymé)
J’ai suivi les conseils qu’il y a dans le livre de Rika Zaraï : ‘Le masque pour la nuit.’ Tu te mets des carottes, des olives, des œufs, des champignons. Et, au réveil, t’as une pizza (Coluche)
Je recycle. J’ai une maison dans le sud de la France et j’ai un petit jardin. Je m’appelle Dujardin – ‘du jardin’. Je cultive des carottes, des poivrons, des fraises, des haricots verts et des choses pour les salades, mais il y a beaucoup de sangliers partout et ils volent la nourriture (Jean Dujardin)
La vie est comme une carotte : courte et précieuse. » (Auteur Inconnu)
Il ne sert à rien de courir après le bonheur. Si votre bonheur dépend de manger des carottes, vous serez malheureux car vous n’avez pas de carottes (Auteur Inconnu)
Les carottes ne se récoltent pas en sifflant (Proverbe français)
Parfois, la carotte la plus difficile à attraper est la plus délicieuse (Auteur Inconnu)
Même la carotte la plus courte a ses racines (Proverbe africain)
Cultivez vos carottes avec amour, et elles vous nourriront avec abondance (Auteur Inconnu)
Ces citations montrent comment les carottes peuvent être utilisées de manière métaphorique ou humoristique pour exprimer des idées sur la culture, la liberté, et même la vie quotidienne. Elles reflètent la diversité des pensées et des expressions autour de ce légume humble mais polyvalent.
Anecdotes de carottes
Les carottes sont bien plus qu’un simple légume croquant que l’on retrouve dans nos assiettes. Elles sont entourées d’une multitude d’anecdotes fascinantes qui révèlent leur rôle dans l’histoire, la culture et même la science. Aujourd’hui, je vous invite à plonger dans le monde surprenant des carottes, à découvrir leurs secrets cachés sous terre et à explorer les légendes qui ont poussé ce légume modeste à devenir un symbole de sagesse, de santé et de prospérité.De l’antique croyance qui leur attribuait la capacité d’améliorer la vision nocturne, à leur utilisation inattendue dans des expériences scientifiques, les carottes ont toujours su piquer notre curiosité et stimuler notre imagination. Alors, préparez-vous à être étonnés par les récits colorés et souvent méconnus qui entourent ce trésor orangé de la nature.
* À l’origine, les carottes n’étaient pas seulement orange. Les premières carottes cultivées étaient violettes ou blanches. Ce n’est que plus tard, au XVIIe siècle aux Pays-Bas, que les carottes orange ont été développées grâce à une mutation génétique. Cette couleur était populaire en hommage à la Maison d’Orange-Nassau, la famille royale néerlandaise.
* Pendant la Seconde Guerre mondiale, une propagande britannique a affirmé que la consommation de carottes avait amélioré la vision nocturne des pilotes de la Royal Air Force. Bien que cette affirmation ait été exagérée pour des raisons de sécurité, les carottes contiennent en effet de la vitamine A, qui est importante pour la santé des yeux.
* En 2017, un homme nommé Joe Atherton a battu le record du monde de la plus grande carotte cultivée. Sa carotte mesurait 6,245 mètres de longueur et pesait près de 22 kilogrammes. Cela montre à quel point les carottes peuvent pousser avec les bonnes conditions de culture.
* En 2014, une paire de carottes a été vendue aux enchères au Japon pour un prix record de 1 million de yens, soit environ 9 600 dollars américains à l’époque. Ces carottes, cultivées dans la préfecture de Miyazaki, étaient considérées comme particulièrement savoureuses et avaient une forme inhabituelle, ressemblant à des mains humaines.
* La connexion entre les lapins et les carottes remonte à la littérature pour enfants, en particulier à l’histoire de Pierre Lapin créée par Beatrix Potter. Dans cette histoire classique, Pierre Lapin est souvent représenté en train de dérober des carottes dans le jardin de Monsieur McGregor, ce qui a contribué à perpétuer l’image du lapin comme amateur de carottes.
* L’ expression « les carottes rendent aimables » trouve ses racines dans une pratique ancienne où les carottes étaient utilisées pour inciter les ânes à avancer. On croyait que les ânes devenaient plus aimables lorsqu’on leur montrait des carottes, les incitant ainsi à coopérer davantage.
* Il fut un temps où la carotte était considérée comme un aliment destiné aux ânes et non aux humains. Elle était reléguée au rang de nourriture pour animaux avant de devenir un incontournable des légumes d’hiver dans l’alimentation humaine.
* Au XIIIe siècle, la carotte était utilisée davantage comme une plante aromatique que comme un légume. Son parfum était apprécié bien plus que sa saveur, et elle était souvent utilisée pour aromatiser les plats.
* Selon une légende, à l’époque où les Chrétiens étaient persécutés, une jeune martyre chrétienne aurait été poignardée en épluchant des légumes. Son sang aurait alors teinté les carottes blanches en orange, donnant ainsi naissance à la légende de la carotte orange.
* Pour révéler pleinement la saveur de la carotte, la cuisson au four est recommandée. Un mélange savoureux de sirop d’érable, d’huile d’olive, de moutarde à l’ancienne et de gousses d’ail peut transformer des carottes simples en un plat délicieux, mettant en valeur leur douceur naturelle et leur arôme subtil.
Ces anecdotes montrent à quel point les carottes ont une histoire riche et variée, allant des légendes folkloriques aux exploits horticoles modernes, en passant par leur importance dans la nutrition et la culture populaire.
Dans un monde où l’alimentation saine et équilibrée occupe une place de plus en plus importante, les carottes râpées se présentent comme de véritables joyaux culinaires. Polyvalentes, nutritives et délicieusement croquantes, elles ajoutent une touche vibrante à nos repas quotidiens. Mais au-delà de leur simple aspect pratique, les carottes râpées incarnent une histoire riche en traditions et en créativité culinaire.Imaginez-vous dans une cuisine baignée de lumière, le doux parfum des carottes fraîchement râpées emplissant l’air. Dans cet article, nous vous invitons à explorer l’univers des carottes râpées sous un nouveau jour. Que vous soyez un amateur de cuisine en quête d’inspiration ou un adepte de la vie saine cherchant à diversifier son alimentation, ces recettes sauront ravir vos papilles et éveiller votre créativité.
Des salades croquantes aux garnitures appétissantes, en passant par des accompagnements innovants et des en-cas nourrissants, les possibilités offertes par les carottes râpées sont infinies. Rejoignez-nous pour un voyage culinaire à travers des saveurs audacieuses, des textures exquises et des combinaisons de goûts surprenantes.Que vous soyez un chef expérimenté ou un novice en quête de nouvelles expériences gustatives, laissez-vous guider par notre sélection de recettes simples, saines et délicieuses mettant en vedette les carottes râpées. Préparez-vous à redécouvrir ce légume humble sous un nouvel éclairage et à réveiller vos papilles avec des plats aussi colorés que savoureux.
Salade de carottes râpées au citron et à la coriandre
– Ingrédients : carottes râpées, jus de citron frais, huile d’olive, coriandre fraîche, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec le jus de citron, l’huile d’olive et la coriandre hachée. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 30 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à la menthe et au yaourt :**
– Ingrédients : carottes râpées, yaourt grec nature, feuilles de menthe fraîche, jus de citron, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec le yaourt grec, les feuilles de menthe ciselées et le jus de citron. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Réfrigérez avant de servir.
Salade de carottes râpées à l’orange et au fenouil
– Ingrédients : carottes râpées, fenouil finement tranché, segments d’orange, jus d’orange frais, huile d’olive, vinaigre de cidre, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec le fenouil et les segments d’orange. Dans un petit bol, mélangez le jus d’orange, l’huile d’olive et le vinaigre de cidre pour faire la vinaigrette. Assaisonnez la salade avec cette vinaigrette, du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 15 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à l’avocat et au céleri
– Ingrédients : carottes râpées, avocat mûr, céleri coupé en petits dés, jus de citron, huile d’olive, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec l’avocat écrasé, le céleri et le jus de citron. Ajoutez un filet d’huile d’olive et assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 20 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à la pomme et au céleri-rave
– Ingrédients : carottes râpées, pomme râpée, céleri-rave râpé, jus de citron, huile d’olive, graines de sésame (facultatif), sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec la pomme et le céleri-rave. Arrosez avec le jus de citron et un filet d’huile d’olive. Ajoutez éventuellement des graines de sésame pour plus de croquant. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 10 à 15 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à la menthe et au citron
– Ingrédients : carottes râpées, feuilles de menthe fraîche hachées, jus de citron, huile d’olive, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec la menthe hachée, le jus de citron et l’huile d’olive. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 30 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à l’orange et au gingembre
– Ingrédients : carottes râpées, zestes et jus d’orange, gingembre frais râpé, huile d’olive, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec les zestes et le jus d’orange, le gingembre frais râpé et l’huile d’olive. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez mariner au réfrigérateur pendant environ 1 heure avant de servir.
Salade de carottes râpées au cumin et au yaourt
– Ingrédients : carottes râpées, yaourt grec, jus de citron, cumin en poudre, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec le yaourt grec, le jus de citron et le cumin en poudre. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 30 minutes avant de servir.
Salade de carottes râpées à la coriandre et au vinaigre balsamique
– Ingrédients : carottes râpées, feuilles de coriandre fraîche hachées, vinaigre balsamique, huile d’olive, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec la coriandre hachée, le vinaigre balsamique et l’huile d’olive. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez mariner au réfrigérateur pendant environ 1 heure avant de servir.
Salade de carottes râpées au sésame et à la sauce soja
– Ingrédients : carottes râpées, graines de sésame, sauce soja, vinaigre de riz, huile de sésame, sel, poivre.
– Préparation : mélangez les carottes râpées avec les graines de sésame, la sauce soja, le vinaigre de riz (ou un mélange de 2/3 de vinaigre de cidre et 1/3 d’eau) et l’huile de sesame (ou de l’huile d’olive). Assaisonnez avec du sel et du poivre. Laissez reposer au réfrigérateur pendant environ 30 minutes avant de servir.
En somme, la carotte est bien plus qu’un simple accompagnement dans nos assiettes. Elle est une muse pour les artistes, une alliée pour notre santé, et un symbole de la générosité de la terre. Que ce soit dans un humble potage ou dans une élégante préparation gastronomique, la carotte a su se réinventer et rester indispensable à notre quotidien. Alors la prochaine fois que vous croquerez dans une carotte, pensez à toutes les histoires qu’elle pourrait raconter, si seulement elle avait la parole.
That’s All Folks !
Dans un monde souvent complexe et tumultueux, il est parfois nécessaire de revenir à l’essentiel, de trouver la beauté et la richesse dans les choses simples de la vie. La carotte, ce légume modeste et terrestre, incarne parfaitement cette idée. Enracinée dans la terre nourricière, elle tire sa vitalité de la simplicité même de son existence. Pourtant, derrière sa façade humble se cache une abondance de bienfaits, une richesse nutritionnelle et une polyvalence culinaire qui méritent d’être redécouvertes.
En contemplant la carotte, nous sommes invités à nous reconnecter avec la nature et à apprécier les trésors qu’elle nous offre. Sa croissance humble dans le sol fertile nous rappelle la puissance de la terre et le cycle éternel de la vie. Chaque bouchée juteuse et croquante est un rappel de la générosité de la nature, de sa capacité à nourrir et à sustenter notre corps et notre esprit.
Mais la carotte va au-delà de sa simple utilité alimentaire. Elle nous enseigne la valeur de la patience et de la persévérance, car elle demande du temps pour pousser et mûrir. Elle nous rappelle également l’importance de la diversité, car elle existe en une multitude de couleurs et de formes, chacune offrant ses propres nuances de saveur et de texture.
Je vous invite à redécouvrir la carotte sous un nouveau jour, à la considérer avec un regard neuf empreint de gratitude et d’admiration pour sa simplicité et sa richesse. Que ce légume humble vous inspire à trouver la beauté dans les choses simples de la vie et à savourer chaque moment avec un cœur reconnaissant.
C’est avec cette pensée que nous clôturons notre voyage au cœur de l’univers fascinant des carottes.
Dans les rues apparemment stériles de West Orange, dans le New Jersey, un jeune épervier de Cooper a bouleversé les idées reçues sur la cohabitation entre ville et nature. Ce rapace forestier, traditionnellement discret et adapté aux environnements boisés, a fait preuve d’une intelligence et d’une capacité d’adaptation hors du commun : il a appris à utiliser les feux de circulation et les signaux sonores pour tendre des embuscades à ses proies. Une stratégie inédite qui témoigne d’une faculté étonnante à intégrer les infrastructures humaines à ses techniques de chasse.
Quand le vivant investit la ville – On croit souvent que la ville est un espace stérile, défavorable au développement de la vie sauvage. Or, les écosystèmes urbains, bien que transformés, ne sont pas vides : ils regorgent de formes de vie qui, jour après jour, réinventent leurs habitudes pour survivre, voire prospérer, au cœur du béton. Corvidés, pigeons, goélands, faucons et même certains mammifères développent des comportements inédits face aux pressions urbaines. L’épervier de Cooper (Accipiter cooperi), rapace américain au regard perçant, en est l’illustration la plus spectaculaire.
Un chasseur opportuniste et méthodique – Dans une étude récemment publiée dans la revue Frontiers, le zoologiste Vladimir Dinets rapporte un comportement jamais observé auparavant chez un épervier de Cooper. Entre 2021 et 2022, dans une zone résidentielle de West Orange, ce jeune rapace a régulièrement été vu posté dans les arbres proches d’un carrefour. Là, il attendait patiemment le moment où le feu piéton passait au rouge. Mais ce n’est pas un simple changement de lumière qui guidait son attaque : l’épervier avait appris à reconnaître le signal sonore destiné aux piétons, qui précède l’allongement de la file de voitures. Ce son était pour lui un indice fiable qu’une couverture visuelle allait bientôt se former — la suite de véhicules arrêtés à l’intersection. Dès lors, dissimulé derrière les voitures, il lançait une attaque à très basse altitude le long du trottoir, effectuant un virage brusque pour fondre sur des moineaux, tourterelles ou étourneaux attirés par les miettes jetées au sol.
La ville, nouveau terrain de chasse – L’épervier de Cooper n’en est pas à sa première incursion en milieu urbain. Depuis les années 1970, on observe un phénomène de colonisation des villes par certaines espèces de rapaces, y compris cet Accipiter, généralement forestier. En quête de nouveaux territoires et profitant de la prolifération d’oiseaux citadins, il s’est installé dans les parcs, les quartiers résidentiels, et désormais, dans des carrefours urbains. Ce comportement n’est pas anodin : il révèle une planification spatiale complexe et une capacité d’apprentissage rarement documentées chez les rapaces. Le jeune épervier de West Orange ne se contente pas d’observer, il anticipe. Il associe un signal acoustique à un effet visuel (la formation d’une file de voitures), puis adapte son itinéraire de vol et son timing pour maximiser ses chances de succès. Une stratégie jusqu’ici réservée, dans les observations cientifiques, aux corvidés et à certains mammifères comme les renards ou les ratons laveurs.
Le règne des animaux ingénieux – Ce phénomène s’inscrit dans une tendance plus large. Les oiseaux urbains rivalisent d’ingéniosité pour survivre et tirer parti des infrastructures humaines. Les corbeaux et corneilles, par exemple, déposent des noix sur la chaussée pour les faire écraser par les voitures. Les goélands synchronisent leur recherche de nourriture avec les horaires de cantines ou l’ouverture des centres de tri. Les rapaces, eux aussi, innovent : le faucon crécerelle utilise les lampadaires comme perchoirs pour chasser de nuit des proies désorientées par la lumière artificielle. Ces adaptations témoignent d’une flexibilité comportementale remarquable, révélant combien la frontière entre nature sauvage et environnement urbain est plus poreuse qu’il n’y paraît.
Quand la ville nourrit l’évolution – La ville ne se contente pas d’être un théâtre d’adaptation ponctuelle. Elle devient, pour certaines espèces, un moteur d’évolution. En forçant les individus à changer de stratégies, à développer de nouveaux réflexes, voire à intégrer des éléments artificiels dans leur comportement instinctif, les milieux urbains façonnent la trajectoire de l’évolution. Dans ce contexte, le cas de l’épervier de Cooper fait figure de laboratoire vivant : il soulève des questions essentielles sur la manière dont les espèces vont intégrer — ou non — les éléments anthropiques dans leur développement futur. Le fait qu’un rapace, souvent considéré comme très dépendant de son environnement naturel, parvienne à transformer un feu piéton en allié stratégique illustre une forme de résilience et d’intelligence peu commune.
Une cohabitation à repenser – Ce comportement singulier appelle à reconsidérer la place de la nature en ville. Plutôt que de penser l’urbanisation comme une opposition au vivant, certains chercheurs appellent à développer des infrastructures plus perméables, capables d’accueillir et d’intégrer les espèces sauvages dans le tissu urbain. En comprenant mieux les comportements d’espèces comme l’épervier de Cooper, on peut imaginer des villes où la cohabitation ne serait pas subie, mais organisée. Des zones de chasse protégées, des habitats arborés intégrés au plan urbain, ou des horaires de limitation du trafic pourraient contribuer à une symbiose entre humains et animaux urbains.
L’oiseau, le signal et la ville – L’histoire de ce jeune épervier de Cooper n’est pas qu’un fait divers animalier. Elle est un signal faible mais puissant : celui d’un monde où le sauvage ne recule pas toujours face au béton, mais apprend à danser avec lui. Un monde où, derrière le ronronnement d’un moteur ou le bip strident d’un feu piéton, un prédateur silencieux affûte sa stratégie, prouvant que l’intelligence du vivant ne cesse de nous surprendre.
Dans le vacarme des villes, le cri du fauve n’a pas disparu. Il s’est adapté.
Photo : Fyn Kynd (Flickr)
Pourquoi célèbre-t-on le 1er Juillet au Canada ? – Chaque 1er juillet, le Canada se pare de rouge et de blanc pour célébrer sa fête nationale. Cette date n’a pas été choisie au hasard : elle commémore la Confédération canadienne, survenue le 1er juillet 1867. Ce jour-là, le British North America Act (aujourd’hui appelé Loi constitutionnelle de 1867) entrait en vigueur, unissant les colonies du Haut-Canada (Ontario), du Bas-Canada (Québec), du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse en une seule entité politique : le Dominion du Canada. Ce fut le premier pas vers l’indépendance et l’identité propre du pays. La fête du Canada, officialisée en 1879 sous le nom de Jour de la Confédération, est devenue un symbole d’unité, de diversité et d’appartenance.
Célébrer un Canada fort et fier – En 2025, le mot d’ordre lancé par le ministère de l’Identité et de la Culture canadiennes est clair : “Célébrons notre Canada, fort et fier”. Le ministre Steven Guilbeault l’a affirmé : “Les festivités du 1er juillet nous donneront l’occasion de célébrer notre unité et d’exprimer notre fierté nationale, tout en affirmant notre souveraineté, notre identité et notre culture. “ Ce message résonne d’un océan à l’autre, alors que les citoyennes et citoyens sont invités à se rassembler dans leurs communautés et, pour les plus chanceux, dans la région de la capitale nationale, au cœur des célébrations. Ottawa et Gatineau vibreront au rythme d’animations familiales, de spectacles en plein air, de moments de commémoration… et du traditionnel feu d’artifice Tim Hortons, une véritable apothéose visuelle.
La cérémonie nationale du midi : un lancement en musique – Le coup d’envoi des festivités se fera dès midi (heure de l’Est – UTC−05:00) au parc des Plaines-LeBreton à Ottawa, avec la cérémonie nationale du midi, diffusée en direct sur CBC, Radio-Canada et leurs plateformes numériques. Sur scène, une brochette d’artistes incarnera la diversité et la richesse du pays :
- Amanda Marshall, voix emblématique de la pop canadienne
- Garou, figure incontournable du répertoire francophone
- Le pianiste Thompson Egbo-Egbo
- La chanteuse montante Rafaëlle Roy
- L’auteure-compositrice Alli Walker
- Et l’animatrice Sonia Benezra, figure bien connue du paysage culturel
Un spectacle national grandiose, animé par Isabelle Racicot – À la tombée du jour, c’est un événement d’envergure qui prendra le relais : le spectacle national du soir, toujours aux Plaines-LeBreton, entre 20 h et 22 h (HE – UTC−05:00), animé par la chaleureuse Isabelle Racicot. Pensé comme une célébration pancanadienne, ce spectacle mêlera prestations en direct d’Ottawa à des segments enregistrés dans trois régions emblématiques du pays : Summerside (Île-du-Prince-Édouard), Yellowknife (Territoires du Nord-Ouest) et Vancouver (Colombie-Britannique). Un hommage vibrant à la mosaïque géographique et culturelle du Canada.
Le line-up est à la hauteur de l’événement :
- Sarah McLachlan, légende de la scène internationale
- Cœur de Pirate, représentante de la francophonie contemporaine
- Josh Ross, Tom Cochrane, Amanda Marshall, Mitsou, Roch Voisine, Randy Bachman, Édith Butler, TALK, Fredz, Dumas & Ivan Boivin-Flamand, Aasiva, Muzion, Billie du Page, Morgan Grace, Blue Rodeo, Dear Rouge, Crook The Kid, Brenda Montana
- Et des invités spéciaux : Jeff Douglas, Katherine Levac, Les Sœurs Bégin, Enola Bedard
Un spectacle qui promet de faire vibrer le pays entier, retransmis sur CBC, ICI TÉLÉ, Radio-Canada, YouTube et toutes les grandes plateformes de diffusion.
Exprimer sa fierté avec la Station Ô Canada ! – Nouveauté inspirante de cette édition 2025 : la Station Ô Canada! invite les citoyens à exprimer ce qui les rend fiers d’être Canadiens. Que ce soit par le biais du site web ou des bornes installées dans plusieurs gares VIA Rail à travers le pays, chacun peut enregistrer une courte vidéo de fierté nationale. Certaines seront même diffusées lors du spectacle du soir. En bonus : chaque participation donne une chance de gagner un voyage à bord de VIA Rail Canada.
Un esprit de communauté et de partage – Plus que jamais, la fête du Canada se veut inclusive, intergénérationnelle et ancrée dans le quotidien de ses habitants. Au-delà des festivités de la capitale, chaque ville, chaque village proposera ses propres animations. Le 1er juillet, les rues se parent de drapeaux, les parcs résonnent de rires d’enfants, les airs de barbecue s’entremêlent à ceux des musiques locales… Un véritable patchwork d’émotions et de traditions.
Pour vivre l’événement au plus près, les Canadiens sont invités à suivre les plateformes officielles :
- Facebook : @vivezlacapitale | @capitalexperience
- Twitter/X : @VivezlaCapitale | @capital_exp
- YouTube : @PatrimoineCdn | @CdnHeritage
- Instagram : @regioncapitalecanada | @canadacapitalregion
La fête du Canada n’est pas qu’un anniversaire : c’est un rendez-vous avec notre histoire, un moment de partage collectif, une fenêtre ouverte sur notre avenir. Elle rappelle tout ce qui nous unit, malgré nos différences, nos origines diverses et nos multiples horizons. Le 1er juillet 2025, le pays tout entier vibrera au même rythme : celui d’un Canada fort, fier et résolument tourné vers l’avenir.
Pour consulter la programmation complète et les activités régionales : https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/campagnes/fete-canada.html
Alors que la grande Foire de Libramont attire chaque année des dizaines de milliers de visiteurs dans une mise en scène spectaculaire de l’agriculture industrielle, de la mécanisation et des multinationales agroalimentaires, un autre rendez-vous paysan, plus modeste en taille mais immense en convictions, se tient à quelques kilomètres de là. À Tournay (Neufchâteau), la Petite Foire Paysanne revient les 26 et 27 juillet 2025 pour sa 12e édition. Organisée par le Mouvement d’Action Paysanne (MAP), elle constitue le seul événement wallon consacré exclusivement à l’agroécologie paysanne et aux femmes et hommes qui la font vivre au quotidien.
Une foire alternative, ancrée, militante et festive – À première vue, l’appellation « Petite Foire » pourrait prêter à sourire ou faire penser à un simple marché local. Pourtant, il s’agit là d’un véritable événement citoyen et agricole d’envergure qui rassemble chaque été quelque 8.000 visiteurs. Loin des démonstrations de machines high-tech ou des stands des géants de l’agrochimie, la Petite Foire met en lumière des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, de la biodiversité et des humains. Le lieu choisi – la bergerie de Roiveau, au cœur d’un site agroécologique – n’a rien de symbolique : il est au contraire emblématique d’une manière de penser, d’habiter, de cultiver, de vivre. Le terrain devient une agora rurale où paysan·ne·s, artisan·e·s, citoyen·ne·s et associations échangent autour des défis de notre agriculture et de notre alimentation. On y retrouve des conférences-débats, des projections, des démonstrations pratiques, un marché de producteurs, des concerts, des performances artistiques et une cuisine locale et savoureuse. Un lieu où se tissent des liens, se partagent des savoirs et se construisent des alternatives concrètes.
La thématique de l’édition 2025 – “ Alliances & Résilience “ – s’inscrit pleinement dans cette dynamique. Elle vise à renforcer les coopérations entre acteurs de terrain pour bâtir une agriculture plus forte, solidaire et adaptée aux défis écologiques et sociaux du XXIe siècle.
Une différence assumée avec la Foire de Libramont – La Petite Foire ne se contente pas d’être une version réduite de la Foire de Libramont. Elle se positionne clairement comme un contre-modèle. Tandis que la Foire de Libramont présente une vitrine de l’agriculture conventionnelle, souvent productiviste, la Petite Foire affirme haut et fort qu’« une autre agriculture est possible ». Elle valorise le travail des petites fermes à taille humaine, en circuits courts, avec peu d’intrants, respectueuses des cycles naturels et soucieuses de justice sociale. Elle donne la parole aux paysan·ne·s plutôt qu’aux industriels. Elle propose une vision politique, éthique et conviviale de l’agriculture, tournée vers l’autonomie, la biodiversité, la coopération et la souveraineté alimentaire.
Le MAP : un pilier de l’agroécologie en Belgique francophone – À l’origine de cet événement : le Mouvement d’Action Paysanne (MAP). Fondée en 1998, cette association sans but lucratif milite depuis plus de 25 ans pour une agriculture durable, équitable et solidaire. Son ambition est claire : défendre et promouvoir l’agriculture paysanne agroécologique ainsi que la souveraineté alimentaire, tout en accompagnant les paysan·ne·s dans leur parcours professionnel et militant. Le MAP est également un organisme d’éducation permanente reconnu, un acteur de plaidoyer et un espace de formation. À travers son école indépendante – l’EPI (École Paysanne Indépendante) – il propose des formations courtes ou longues à destination des (futur·e·s) paysan·ne·s. Loin des logiques descendantes, le MAP prône la transmission horizontale des savoirs : par les pairs, sur le terrain, en lien avec les réalités du métier.
Son engagement se fonde sur plusieurs principes clés :
- Respect de la nature et des humains, en refusant les logiques extractivistes.
- Économie des ressources, en réduisant la dépendance aux intrants extérieurs.
- Localisation des échanges, pour renforcer les économies de territoire.
- Solidarité entre pairs, ici et ailleurs, pour un monde agricole plus juste.
- Pérennité et transmission des savoir-faire paysans.
- Autonomie politique et technique, à l’écart des influences industrielles et des logiques de marché imposées.
Le MAP s’inscrit dans des réseaux plus larges comme La Via Campesina ou Agroecology In Action, et participe activement à la construction d’un mouvement global de transformation sociale par l’agriculture.
Plus qu’une foire : une aventure humaine collective – Au-delà des stands et conférences, la Petite Foire Paysanne repose sur un engagement collectif sans faille. Chaque année, des dizaines de bénévoles viennent prêter main forte pour monter les infrastructures, accueillir le public, cuisiner, animer les lieux… Le camping est gratuit pour eux, l’ambiance chaleureuse, et les échanges entre militant·e·s, citoyen·ne·s et professionnel·le·s nourrissent autant les esprits que les estomacs. Le MAP met un point d’honneur à faire de cette foire un lieu inclusif, accessible et participatif. Le bénévolat n’est pas seulement logistique : il est une forme d’engagement politique joyeux, un acte de résistance au gigantisme et à l’anonymat du modèle dominant.
L’agroécologie paysanne : bien plus qu’un modèle Agricole – La Petite Foire n’est pas un repli sur soi. Elle est un cri d’espoir, une mise en pratique d’un projet de société. Le MAP le répète : « L’agroécologie paysanne est la base d’un mouvement de transformation sociétale global. » Car l’agriculture touche à tout : l’énergie, la santé, l’alimentation, l’éducation, les relations sociales… En remettant l’humain et la nature au cœur des systèmes alimentaires, la Petite Foire et son organisateur posent les bases d’une véritable souveraineté : celle qui permet à chacun de choisir ce qu’il mange, ce qu’il cultive, comment il vit. Et qui invite, à travers une joyeuse foire d’été, à changer le monde, un champ à la fois.
La Petite Foire Paysanne à encore besoin de quelques mains fortes pour le montage (23 au 25/7) et démontage (28 au 30/7). A vos inscriptions !
Bloquez les dates du 26 & 27 juillet 2025 dans vos agendas, ainsi que la semaine précédente et suivante (du 23/7 au 30/7) pour rejoindre les joyeux.ses volontaires-bénévoles afin d’assurer le montage, l’intendance et démontage de La Petite Foire Paysanne (camping et restauration gratuits sur place pour les bénévoles). Bénévole à La Petite Foire, c’est sympa ! On reçoit un chouet’ T-shirt. On découpe de bons légumes parfumés. On joue à cache-cache sous les tonnelles. On fait de la peinture. On promène des brouettes. Et on se fait plein de nouveaux z’amis ! Zieute un peu les photos tout en bas…
Intéressé.e de nous aider un jour ou plusieurs jours entre le 23 et le 30 juillet ?
Formulaire d’inscription : + infos et contact par e-mail : BenevoleLPF@lemap.be
Lien pour le covoiturage autogéré par et pour les festivaliers et bénévoles : https://togetzer.com/covoiturage-evenement/6rgxsu
Pour dormir, différentes possibilités sont possibles :
> La Maison du Village située à 800 mètres du site de La Petite Foire a été louée et est réservée pour vous afin dormir sous un toit si vous le souhaitez (+- 30 places, amenez votre matelas et sac de couchage), être au sec si il pleut,… mais aussi pour reprendre des forces avec de bons plats préparés par l’équipe MIAM.
> En tente à côté de La Maison du Village (amener votre tente et votre matériel)
> En van/mobilhome sur le parking de La Maison du Village (bornes électriques présentes)
> En tente sur le camping de la Petite Foire Paysanne
Inscriptions via le formulaire : https://framaforms.org/la-petite-foire-2025-inscription-benevoles-1742640794?fbclid=IwY2xjawKlARBleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBHUmxYYUlEQ0FxcDBTVXdoAR6K8dIsqCPkigGDAcsRombXAbdJF1WUmwdWw0nEVL1dP6DaDO8YhDLmDWOWcw_aem_UQG5tv7Dvh0zAX7k8AogKg
Pour en savoir plus : Le MAP
Le MAP-EPI asbl , Mouvement d’Action Paysanne – École Paysanne Indépendante asbl , Les Hayettes 126D , 6920 Wellin
Télephone : 0487 89 47 71 (Johanne) – 0478 12 40 70 (Chris)
Email : info@LeMAP.be
Site web : https://www.lemap.be/
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=61576356135287
Instagram : https://www.instagram.com/lapetitefoirepaysanne/
La Petite Foire Paysanne
Site Internet : www.LaPetiteFoirePaysanne.be
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=61576356135287
Un week-end au cœur de la Petite Foire, c’est bien plus qu’une sortie bucolique : c’est une immersion dans le monde possible d’après.
Un test sanguin innovant pourrait anticiper jusqu’à 67 maladies, y compris des conditions sévères, permettant ainsi une détection plus précoce et plus précise. L’étude internationale qui a conduit à cette avancée s’est focalisée sur l’examen des protéines présentes dans le sang. Une simple goutte de sang renferme des milliers de protéines, dont certaines changent en cas de maladies spécifiques. Grâce à l’analyse de ces protéines, les scientifiques peuvent repérer des maladies comme divers types de cancers, ainsi que des troubles du foie, des reins et des poumons.
L’analyse, effectuée en collaboration avec plusieurs organismes prestigieux, tels que l’Institut de la Charité à Berlin et l’Université de Cambridge, a permis d’examiner plus de 40 000 échantillons sanguins, mettant en lumière près de 3 000 protéines. Bien que les résultats soient encourageants, des validations supplémentaires restent indispensables avant que cette méthode puisse être largement accessible.
Ce test pourrait contribuer à identifier des maladies qui, avec les méthodes actuelles, nécessitent souvent plusieurs mois, voire des années, pour être détectées. Parmi celles-ci figurent le myélome multiple (un cancer de la moelle osseuse), la fibrose pulmonaire, la maladie des motoneurones et la cardiomyopathie dilatée. De plus, ce test pourrait également aider à détecter des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, ainsi que des pathologies respiratoires comme la BPCO, des troubles rénaux et hépatiques, des affections rhumatismales et la mucoviscidose.
Outre le diagnostic de maladies particulières, ce test est également capable d’évaluer l’âge biologique d’un individu en se basant sur les protéines trouvées dans son sang. Cela pourrait aider à mesurer les risques de maladies associées à l’âge et à observer que certaines personnes présentent un vieillissement biologique plus lent que d’autres.
Cependant, ce test n’est pas applicable à toutes les situations. Pour des affections telles que les infections bactériennes, l’ostéoporose ou la cataracte, les méthodes traditionnelles demeurent plus appropriées. Il est donc crucial d’identifier précisément les maladies pour lesquelles ce test sanguin s’avère le plus utile, afin de l’incorporer dans une stratégie clinique plus globale et adaptée.
Dans le village de Bègues où sont recensés 234 habitants, la culture et la musique plus particulièrement, occupent une place importante dans la vie de cette jolie bourgade, qui domine la vallée de la Sioule. Avec une idée principale de départ, qui est de créer un maximum de lien social.
Une belle aventure
Tout est parti de l’envie de 4 personnes de redynamiser la vie d’un village endormi par le passage anxiogène de la COVID et qui a vu son école fermée ses portes ainsi que son dernier café en 2003. « L’idée était de sortir le village d’un marasme ambiant, aggravé par la situation sanitaire et d’organiser un point de rencontre occasionnel à travers des activités musicales et culturelles. De même nous avons tenu à élaborer une petite restauration à base de produits fabriqués dans notre région », glissent les porteurs de ce projet. Les esquisses sont multiples, variant des apéros- concerts estivaux, au marché des artistes et artisans en novembre, à l’Odyssée du livre parrainée par le Bourbonnais Augustin Trapenard. « Nous essayons de faire un événement par saison. Aujourd’hui, nous sommes une dizaine de bénévoles pour nous occuper de tout cela. Nos manifestations peuvent réunir de 80 à 300 personnes, ce qui est bien pour un village comme le nôtre. Le conseil municipal nous apporte sa contribution, ils ne sont pas insensibles à ce que Bègues soit mis en lumière dans la presse », souligne le trésorier. « L’idée est de partager et d’offrir aux gens un moment convivial, un endroit éphémère pour se retrouver, le temps d’une soirée », poursuit-il.
La musique dans les hameaux
Dans les années 1900, jusqu’à l’aube du siècle nouveau, le village de Bègues était connu pour ses fameuses guinguettes en bord de Sioule qui attiraient même des gens venant de Clermont-Ferrand. Au programme, baignade, pédalos, dégustation de la fameuse friture et bal pour clôturer une journée bien remplie. « Il y avait une vraie effervescence, ici, l’été, lorsque les cafés et les restaurants permettaient aux gens de se retrouver le week-end afin de passer un agréable moment, au bord de l’eau et au pied des viaducs Eiffel », relate le trésorier qui se souvient très bien de cette époque. Aujourd’hui, tous ces lieux ont fermé pour diverses raisons, et seuls les touristes passionnés d’œuvre d’art s’arrêtent pour contempler ces majestueuses réalisations construites à partir de 1869. « L’idée est d’amener la musique dans les hameaux, avec toujours comme objectif premier de créer, de consolider le lien, à travers la culture.
L’accès aux concerts est gratuit. C’est aussi l’occasion pour certains de découvrir le patrimoine touristique de la région », concluent les fondateurs de cette association La Loco, toujours partants pour voyager le plus longtemps possible sur la voie de la culture, ouverte à tous.
Romancière, esthète, ambassadrice des lettres… et top-modèle de la pensée sensible. Derrière le pseudonyme androgyne de Suzie Henri se cache une jeune autrice à la plume affûtée et à la présence affirmée. Aujourd’hui, elle lance un appel au soutien pour continuer à créer du contenu littéraire de qualité et inspirer une communauté grandissante. Portrait d’une autrice qui refuse de choisir entre beauté et profondeur.
Elle pourrait n’être qu’un visage, un style, une esthétique léchée qui cartonne sur les réseaux. Elle pourrait, mais elle a choisi d’être aussi – et surtout – une voix. Une voix qui s’élève, qui fouille, qui questionne. Une voix littéraire. Suzie Henri, c’est cette fusion rare entre apparence et substance. Une ambassadrice des lettres version XXIe siècle, qui défile autant dans les couloirs de l’introspection que sur les timelines numériques.
Avec son pseudonyme pensé comme un manifeste – Suzie pour la douceur féminine, Henri pour la sobriété masculine – elle pose d’emblée les jalons de sa démarche artistique : refuser les étiquettes. Ne pas choisir entre penser et plaire. Entre plaire et réfléchir. « Je suis une grande littéraire, une esthète dans l’âme. Et je veux transmettre cette exigence à ma communauté », dit-elle sans détour.
Un roman, une déclaration d’intention – Son premier roman, Libres et prisonniers, est une entrée en littérature comme un coup de gong : lucide, fin, profondément habité. Ce n’est pas le premier qu’elle a écrit, mais le premier qu’elle a jugé opportun de publier, format court, parce que « jeune autrice encore inconnue ». Pourtant, déjà, tout y est : l’obsession du ressenti, l’analyse psychologique au scalpel, la quête d’un amour vrai – noble, pur, exigeant. Son héroïne, Fanny, est prise dans les filets d’une relation impossible avec Antoine, un homme qui fuit l’engagement. Entre les deux, un jeu de miroirs : elle espère, il se dérobe ; elle rêve d’amour, il se réfugie dans la sensualité. Le vrai suspense du roman ? Pas une poursuite ou une révélation soudaine, mais ce fil tendu entre deux psychés. Comment réagira l’autre ? Peut-on encore aimer sans égo ?
Suzie Henri creuse là où ça fait mal, là où ça gratte, là où ça palpite. Et derrière la fiction, il y a une idée forte, presque une philosophie : l’amour ne peut éclore que dans une forme de don sincère, sans posture, sans fioriture.
Écrire avec exigence, partager avec grâce – Formée au journalisme après une licence de russe, Suzie Henri a fait le pari rare de ne vivre que de l’écriture. Pas de petit boulot pour arrondir les fins de mois. Elle écrit tous les jours. Elle doute, relit, polit chaque phrase comme une gemme. « Je me relis à voix haute. Il faut que ça sonne, que ça ait une musicalité. » Pas de place pour les tournures faciles ni pour le relâchement stylistique. La langue, chez elle, est vivante mais soignée. Poétique sans maniérisme. « Dans les dialogues, les personnages peuvent parler comme dans la vraie vie. Mais la narratrice, elle, doit incarner une certaine hauteur. » Son écriture se nourrit de Sagan, de Radiguet, d’une tradition française de l’élégance psychologique. Mais aussi de sa propre expérience, de ce qu’elle observe, ressent, analyse avec acuité. Elle n’écrit pas pour fuir le réel, mais pour mieux le comprendre.
Une écrivaine 2.0 qui ne fait pas semblant – Et pourtant, elle ne se contente pas de la solitude du bureau. Depuis l’automne, Suzie Henri investit massivement les réseaux sociaux. Instagram, Facebook, publications régulières, photos esthétiques, poèmes, critiques littéraires : elle soigne tout, avec le même perfectionnisme que pour ses livres. « Je veux offrir du contenu de qualité. C’est aussi une façon d’élever les gens, de leur transmettre une forme de beauté. »
C’est là qu’émerge un concept inédit : la top-écrivaine. Une figure hybride, assumée, entre l’écrivaine studieuse et la femme visiblement séduisante. Une provocation ? Non. Une réconciliation. « Longtemps, j’ai pensé que je devais choisir entre mon cerveau et ma féminité. Aujourd’hui, je veux montrer qu’on peut être les deux. » Les shootings qu’elle partage ne sont jamais vains : ils incarnent une posture, une intention. Ils sont une déclaration : la profondeur peut être glamour, l’intelligence peut briller, le style peut s’écrire en toutes lettres.
Une demande sincère : créer, encore et toujours – Mais cette dynamique, cet élan, cette intensité quotidienne ont un coût. Et c’est ici que Suzie Henri lève le voile : elle a besoin de financement pour continuer. Non pas pour se mettre en scène, mais pour créer, publier, partager, interagir, inspirer. Elle ne mendie pas. Elle propose. Elle tend la main à ceux qui croient encore que la littérature a sa place dans le monde numérique. À ceux qui voient dans la beauté, dans les mots, dans les émotions fines, une voie de réenchantement du réel. À ceux qui veulent croire qu’on peut grandir, ensemble, à travers une œuvre, un regard, une voix.
Un engagement : élever, pas diverter – Le mot revient, comme une boussole : élever. Pas divertir, pas distraire. Élever l’âme, la pensée, le goût. C’est sa mission, sa vocation, son moteur. « Ce ne sont pas les idées qui me manquent. Mon souhait, c’est de continuer à transmettre ce plaisir de s’élever. » Suzie Henri est de cette génération d’écrivaines qui refusent les compromis faciles. Elle avance avec grâce, avec feu, avec style. Et aujourd’hui, elle vous propose d’embarquer avec elle. Parce que ses mots sont là pour durer. Et parce que, derrière l’image, il y a une pensée. Forte. Juste. Rayonnante.
Instagram : https://www.instagram.com/henri.suzie/
Youtube : https://www.youtube.com/@suziehenri98/shorts
Linkedin : https://www.linkedin.com/in/chlo%C3%A9-maze-30aa96200/
Montréal s’apprête à vibrer au son des cordes. Non pas celles d’un simple récital de guitare, mais d’un projet hors normes, né d’un rêve ambitieux et devenu réalité : « Ceci est un album de guitare ». Dix-sept des plus brillants guitaristes du Québec unissent leur talent dans cette œuvre collective inédite, produite sous l’étiquette Les Disques de la Cordonnerie. Véritable ode à l’instrument-roi, ce projet musical s’impose déjà comme un jalon important dans l’histoire de la guitare au Québec.
Une constellation de talents – Parmi les artistes réunis : Michel Cusson, Luc De Larochellière, Christine Tassan, Jordan Officer, Salomé Leclerc, David Laflèche, Steve Hill, Marie-Claudel, Ivan Boivin-Flamand, Éric Goulet, Jocelyn Tellier, Marc Vallée, Jean-François Beaudet, Jeff Smallwood, Dimitri Lebel-Alexandre, le regretté Réjean Bouchard et Marc Pérusse (Frère de l’humoriste François Pérusse), le directeur artistique et instigateur du projet. Chacun d’eux a composé et enregistré une pièce originale, avec une liberté totale de style, d’approche et de ton. « Chacun dans notre bulle nous avons composé et joué notre pièce. Je suis surpris que nous soyons si proches émotionnellement. » – Michel Cusson . Ces mots traduisent à la fois l’intimité du processus créatif et la magie collective de l’album. Car si chaque pièce porte la signature artistique de son interprète, l’ensemble forme un tout cohérent, une fresque sonore qui révèle les multiples visages de la guitare québécoise contemporaine.
Un album, un manifeste – Le titre, à la fois sobre et affirmatif – « Ceci est un album de guitare » – sonne comme un manifeste. Il évoque autant la richesse de l’instrument que la volonté de lui rendre hommage dans toute sa diversité. Fingerpicking délicat, envolées rock, jazz manouche, textures ambient, blues rugueux ou compositions néo-folk : les styles se succèdent sans jamais s’opposer, dans une célébration de la guitare comme vecteur d’émotions pures. La direction artistique de Marc Pérusse, figure incontournable de la scène québécoise, assure une unité subtile à ce kaléidoscope sonore. Le mixage, soigné et respectueux des nuances de chaque jeu, laisse respirer les cordes, les silences, les résonances.
En route vers la scène : un événement exceptionnel au Théâtre Outremont – Mais le projet ne s’arrête pas à la sortie de l’album, disponible dès ce vendredi 23 mai. Il culminera par un événement exceptionnel : « Ceci est un spectacle de guitare », présenté le mardi 11 novembre 2025 à 20h, au Théâtre Outremont. Treize des artistes ayant participé à l’album monteront sur scène pour faire vivre leurs compositions en direct. La soirée promet une immersion musicale inédite, où virtuosité rime avec émotion. À la direction artistique, toujours Marc Pérusse, assisté cette fois de Luc De Larochellière à la mise en scène, garant d’une expérience aussi soignée visuellement qu’auditivement. « C’est un rêve qui devient réalité de réunir ces treize guitaristes exceptionnels sur une même scène. L’énergie et la créativité qui émanent de cette collaboration sont tout simplement magiques. Nous avons hâte de partager cette expérience unique avec le public. » – Marc Pérusse . Le spectacle s’annonce comme un moment d’exception, une communion rare entre treize artistes unis par leur amour de la guitare. Un véritable tour de force musical et humain.
L’art de la guitare québécoise à son Sommet – Ce projet marque une reconnaissance : celle de la guitare comme art à part entière, et de ses artisans québécois comme de véritables créateurs. Dans un monde musical souvent dominé par le chant et les formats radio, « Ceci est un album de guitare » remet l’instrument au centre. Et ce, sans nostalgie ni académisme. L’album et le spectacle qui en découle témoignent d’une scène vibrante, inventive, vivante. Ce disque, et la soirée du 11 novembre, ne s’adressent pas qu’aux guitaristes ou aux mélomanes avertis. Ils parlent à tous ceux qui ressentent le frisson d’une corde pincée avec justesse, à ceux que le timbre d’une guitare peut faire voyager, pleurer, sourire.
Infos pratiques :
Écoutez l’album ici : promo.theorchard.com/9FQEMPvriql4FvNBBE6n
Réservez vos billets pour le spectacle du 11 novembre : theatreoutremont.tuxedobillet.com
Disques de la Cordonnerie : lesdisquesdelacordonnerie.com
Théâtre Outremont : theatreoutremont.ca
Univers Spectacles : universspectacles.com
« Ceci est un album de guitare », c’est plus qu’un album. C’est un geste artistique fort, un hommage collectif à un instrument qui ne cesse de se réinventer. Et surtout, c’est une invitation à écouter autrement, à vibrer au rythme de dix-sept voix de guitare, singulières mais unies.
Quand les températures grimpent, notre logement devient vite un four. Pourtant, il existe des gestes simples et des aménagements malins pour garder une atmosphère agréable, même pendant les vagues de chaleur. Entre techniques d’aération, choix de végétaux, utilisation optimale du ventilateur et cuisine sans cuisson, voici un guide complet pour traverser l’été en toute sérénité.
Comment aérer son logement quand il fait très chaud ? – Aérer tôt le matin (entre 5h et 8h) permet de renouveler l’air avant que la chaleur ne s’installe. Il est préférable de refermer ensuite fenêtres et volets pour éviter que l’air chaud n’entre.
Faut-il fermer les volets ? – Oui ! C’est l’un des réflexes les plus efficaces. Les volets (ou stores extérieurs) empêchent les rayons directs du soleil de pénétrer. Ils limitent donc l’effet de serre et permettent de conserver la fraîcheur intérieure.
Réduire les rayons du soleil sur les surfaces vitrées – Outre les volets, vous pouvez installer des films solaires sur les vitres ou utiliser des rideaux thermiques. Les stores vénitiens, orientés correctement, filtrent également la lumière tout en laissant passer un peu d’air.
Les plantes extérieures peuvent-elles rafraîchir le logement ? – Oui, et efficacement. Les plantes créent de l’ombre, humidifient légèrement l’air et captent une partie de la chaleur grâce à l’évapotranspiration.
Pourquoi mettre des plantes à l’extérieur ? – Les plantes grimpantes (comme la vigne vierge ou le lierre) peuvent couvrir des façades ou rambardes et empêcher le rayonnement solaire direct. Elles créent un microclimat autour du logement.
Quels végétaux choisir ?
- Petites surfaces (balcon) : plantes en pots comme le lierre, la menthe, ou le géranium odorant.
- Terrasses et jardins : arbustes comme le laurier, le bambou ou la lavande.
- Espaces plus grands : arbres à feuillage dense (tilleul, érable, catalpa) pour ombrager naturellement.
Conseils pour une végétalisation réussie
- Arroser le matin ou le soir.
- Choisir des variétés adaptées au climat local.
- Multiplier les pots et jardinières pour créer un écran végétal.
À l’intérieur : comment limiter la chaleur ?
- Fermer les portes des pièces non utilisées.
- Installer des rideaux épais.
- Placer un drap humide devant une fenêtre entrouverte.
- Utiliser un brumisateur ou une serviette mouillée sur la nuque.
Ventilateurs : comment bien les utiliser ?
Un ventilateur refroidit-il une pièce ? – Non, il ne fait que brasser l’air. Mais la sensation de fraîcheur vient de l’évaporation de la sueur sur la peau.
Portable ou de plafond ?
- Ventilateur de plafond : plus efficace à long terme, il brasse l’air sur toute la pièce.
- Ventilateur portable : flexible, idéal pour cibler une zone.
Astuces d’utilisation :
- Placer une bouteille d’eau congelée devant l’appareil.
- Créer un courant d’air entre deux fenêtres ouvertes.
- Nettoyer régulièrement les pales pour éviter la poussière.
Peut-on faire du sport quand il fait très chaud ?
Oui, mais avec prudence :
- Préférer tôt le matin ou tard le soir.
- Boire très régulièrement.
- Adapter l’intensité : yoga, marche, étirements sont préférables au cardio intense.
10 recettes sans cuisson pour temps chaud
- Salade de pastèque, feta et menthe : Coupez une pastèque et de la feta en dés, ajoutez des feuilles de menthe, un filet d’huile d’olive et un soupçon de citron.
- Wraps de crudités : Tortillas garnies de carottes râpées, concombre, houmous et salade.
- Taboulé à la menthe : Semoule pré-cuite, tomates, concombre, menthe, citron, huile d’olive.
- Carpaccio de courgette : Fines tranches de courgette avec parmesan, huile et citron.
- Salade de pois chiches et tomates : Avec oignon rouge, persil, vinaigrette au citron.
- Tartines avocat-tomate : Pain grillé, purée d’avocat, rondelles de tomate, sel, poivre.
- Soupe froide de concombre et yaourt : Mixez concombre, yaourt nature, menthe, ail.
- Ceviche végétarien : Tomates, oignons, poivrons, citron vert, coriandre.
- Œufs mimosa revisités : Œufs durs, jaune mélangé à fromage frais et herbes.
- Rouleaux de printemps : Galettes de riz, légumes croquants, vermicelles, herbes.
10 boissons saines et rafraîchissantes
- Eau citron-menthe : Eau fraîche avec rondelles de citron et feuilles de menthe.
- Thé vert glacé : Infusé à froid, avec menthe et citron.
- Smoothie melon-concombre : Mixez melon, concombre, glaçons, menthe.
- Infusion d’hibiscus glacée : À consommer avec du citron.
- Lait d’amande glacé à la vanille : Doux et rafraîchissant.
- Eau pétillante à la framboise : Ajoutez framboises fraîches, menthe et glaçons.
- Jus de pastèque : Mixé seul ou avec citron.
- Eau aromatisée aux fruits rouges : Framboises, fraises, mûres dans une carafe d’eau.
- Thé matcha glacé : Avec lait végétal ou eau fraîche.
- Kéfir de fruits maison : Boisson fermentée naturelle aux fruits.
Rester au frais en été n’est pas qu’une question de confort : c’est aussi une nécessité pour la santé, surtout chez les enfants, les personnes âgées ou fragiles. À l’heure du changement climatique, ces bonnes pratiques deviendront de plus en plus précieuses. Alors, à vos volets, vos plantes… et vos ventilateurs !