jimagine.org est une association à but non lucratif c’est une plateforme innovante qui met en lumière et en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.
Initiatives innovantes de jimagine.org
Les initiatives innovantes de jimagine.org visent à créer un réseau de professionnels et d’associations créatives, capables de partager leurs expériences et leurs ressources et de s’entraider dans leurs communautés respectives.
jimagine.org a développé une série d’initiatives pour soutenir sa mission. Il s’agit notamment des initiatives suivantes
- Mise en relation d’artistes, de professionnels, d’associations et de collectivités locales : jimagine.org fournit une plateforme permettant aux membres de se connecter et de collaborer entre eux. Grâce à cette plateforme, les membres peuvent trouver des opportunités pour créer et partager leur travail,
- Événements et ateliers : jimagine.org organise des événements et des ateliers, qui rassemblent des artistes, des professionnels, des associations et des autorités locales pour partager leurs expériences, leurs ressources et leurs idées.
Vous souhaitez soutenir l’association Jimagine plusieurs possibilités s’offrent à vous, en partageant ce post avec vos contacts, en vous inscrivant gratuitement sur jimagine.org, ou nous soutenir financièrement en faisant un don via Helloasso ou devenir adhérent de l’association Jimagine.
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Lancé le 10 septembre 2018, jimagine.org se veut être le nouveau média avec une ligne éditoriale positive. L’objectif premier de ce site internet est de montrer qu’il existe en France de belles initiatives qui sont en manque terrible d’exposition médiatique. En rejoignant la communauté de jimagine.org , vous prouverez qu’un autre monde est possible.
jimagine.org est une association à but non lucratif c’est une plateforme innovante qui met en lumière et en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.
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Seul on va plus vite ! ensemble on va plus loin !
Depuis son lancement en septembre 2018, jimagine.org s’est imposé comme un média à la ligne éditoriale positive. Son objectif principal est de mettre en lumière les belles initiatives françaises qui manquent cruellement d’exposition médiatique. Rejoindre la communauté de jimagine.org, c’est prouver qu’un autre monde est possible. En tant qu’association à but non lucratif, jimagine.org est une plateforme novatrice qui met en relation des artistes, des particuliers, des professionnels, des associations et des collectivités locales. Grâce à ses initiatives uniques, elle favorise le développement d’une économie créative dans les communautés mal desservies.

Les avantages d’être membre de Jimagine.org
En devenant membre de jimagine.org, vous bénéficiez de nombreux avantages :
- Participation au développement de Jimagine.org En adhérant à 10 euros par an sur jimagine.org, vous devenez acteur du développement de la plateforme. Vous pouvez contribuer à faire connaître les initiatives créatives et favoriser leur développement.
- Accès privilégié à des événements et des rencontres En tant que membre, vous avez accès à des événements exclusifs organisés par jimagine.org. Vous pouvez rencontrer des artistes, des professionnels et des personnes partageant les mêmes intérêts que vous.
- Mise en avant de vos propres projets créatifs En adhérant à jimagine.org, vous pouvez mettre en avant vos propres projets créatifs. La plateforme vous offre une visibilité et une audience pour partager votre passion et votre talent.
Comment adhérer à Jimagine.org ?
Adhérer à jimagine.org est simple et rapide. Vous pouvez procéder de deux manières :
- En ligne Vous pouvez adhérer en ligne en visitant le site web de jimagine.org. Il vous suffit de remplir le formulaire d’adhésion et de procéder au paiement sécurisé en ligne via Helloassociation pour 10 euros par an.
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Conclusion
Jimagine.org est bien plus qu’un simple média en ligne. C’est une communauté engagée qui se mobilise pour soutenir l’économie créative et donner une visibilité aux initiatives locales. En adhérant à jimagine.org, vous pouvez participer activement à cette mission et faire partie d’un mouvement qui prône un autre monde possible. Alors n’attendez plus, adhérez à 10 euros par an sur jimagine.org et soutenez l’économie créative dès aujourd’hui !
Toutes sont simples à préparer chez soi, sans additifs chimiques ni emballages superflus :
À base de fruits et légumes
- Citron frais : ajoute quelques tranches ou un filet de jus de citron pour une eau purifiée et rafraîchissante.
- Concombre + menthe : 3-4 rondelles de concombre et quelques feuilles de menthe pour un effet spa maison.
- Orange + gingembre : une combinaison vitaminée et légèrement piquante.
- Fraises écrasées + basilic : pour une eau fruitée, idéale en été.
- Pommes + cannelle (bâton) : une eau douce et épicée, à boire fraîche ou tiède.
- Pastèque + citron vert : ultra rafraîchissante, parfaite en période de chaleur.

Avec des herbes fraîches
- Menthe seule : classique et très efficace.
- Romarin + citron : donne une saveur provençale originale.
- Basilic + framboises : pour une touche sucrée et aromatique.
- Thym citronné : subtile et parfumée, notamment si tu as du thym frais au jardin ou en pot.
Fleurs comestibles
- Eau de rose (quelques gouttes ou infusée) : parfum délicat, à utiliser avec parcimonie.
- Lavande alimentaire : quelques fleurs séchées dans une carafe pour une saveur florale.

Inspirations infusions
- Thé vert froid + rondelles de citron : rafraîchissant, riche en antioxydants.
- Tisane menthe ou verveine glacée : à infuser puis refroidir, pour remplacer l’eau plate.
- Infusion de gingembre (à refroidir) : légèrement piquante, booste la vitalité.
Écorces & zestes
- Zestes d’agrumes (orange, citron, pamplemousse) : recyclage intelligent, donne du goût sans gaspillage.
- Zeste de citron + feuille de laurier : surprenant et très agréable.
Ingrédients spéciaux
- Une pincée de sel rose ou sel de mer : très légère, cela reminéralise l’eau et adoucit parfois le goût (attention à ne pas en abuser).
- Charbon actif végétal : purifie naturellement l’eau et en améliore le goût (à plonger dans une carafe pendant 4 à 8h).
- Perles de céramique (EM) : à placer dans la carafe, elles réduisent le goût de chlore et rééquilibrent l’eau.

Conseils bonus :
- Utilise une carafe en verre ou une bouteille réutilisable en inox, évite le plastique.
- Laisse infuser les ingrédients minimum 1 heure au frigo, idéalement toute une nuit.
- Bois dans des verres propres et rincés à l’eau froide, car certains produits de vaisselle altèrent le goût.
Il est des voix qui traversent le temps, marquent l’instant, s’inscrivent dans l’âme. Celle de Paloma Dineli Chesky, jeune prodige née entre deux cultures – brésilienne par sa mère, new-yorkaise par son père – est de celles-là. Avec “ Memory “, son tout premier album, elle fait une entrée remarquée sur la scène musicale internationale, portée par une maturité artistique rare, une sensibilité à fleur de peau et une volonté farouche de ne pas entrer dans les cases. À seulement 18 ans, elle s’impose déjà comme une voix à part, singulière et habitée, capable de bouleverser par la justesse de son interprétation, la profondeur de ses textes et la richesse de son univers musical.

Une voix reconnaissable entre toutes – “ Si vous entendez sa voix une fois, vous la reconnaîtrez toujours “ affirment les critiques. Et pour cause : Paloma ne chante pas, elle incarne. Sa voix oscille entre la chaleur feutrée d’une Sade, l’intensité d’une Gladys Knight et la douceur d’une Billie Holiday. On parle d’elle comme d’une “ stylist “, une interprète dont le timbre suffit à définir une identité musicale. Sur scène, elle captive, irradie. En studio, elle sculpte le son comme on cisèle une matière précieuse.
Un album entre jazz, pop, bossa nova et poésie intime – “ Memory “, disponible sur toutes les plateformes, est un projet hybride, à l’image de son autrice : neuf titres mêlant six compositions originales et trois reprises soigneusement choisies. L’album privilégie l’acoustique, les instruments réels, la spontanéité du jeu collectif. On y retrouve Maxwell Barnes au saxophone, Chris Ramirez à la basse, Danno Peterson à la batterie et Michael Hilgendorf à la guitare (également directeur musical), tous issus de la scène new-yorkaise.
Dès les premières notes de “ Summertime “, Paloma revisite le classique de Gershwin avec un groove personnel, entre blues, jazz et sensualité. Plus loin, sur “When the Moon’s Away “, elle explore les zones d’ombre, l’ambivalence des émotions, la beauté et la douleur mêlées : “ Do flowers always bloom when the moon’s away? “, chante-t-elle dans un murmure qui fend le silence.
Parmi les compositions originales, “ Baby Face “ mêle swing et introspection sur les illusions de la jeunesse ; “ Diamonds “ se veut un voyage métaphorique sur l’instant présent ; et “ Memory “, la chanson-titre, est une déclaration d’amour nostalgique à ses étés brésiliens. Quant à “ Sober Now “, chanson la plus populaire de l’album, elle évoque avec finesse la sortie d’une relation toxique, entre fragilité et résilience.
Côté reprises, elle bouleverse avec “ House of the Rising Sun “, donne un éclairage nouveau à “ Summertime “, et émeut jusqu’aux larmes avec sa version tout en délicatesse de “ Corcovado “ de Jobim, chantée en portugais. “ C’est ma manière d’honorer mes racines brésiliennes, de me sentir chez moi, en paix “, confie-t-elle.

Une artiste libre, indépendante et visionnaire – Paloma n’est pas qu’une voix. Elle est aussi une compositrice, une réalisatrice, une productrice. Formée au sein du prestigieux programme Very Young Composers du New York Philharmonic, où elle a étudié piano et composition, elle a été encouragée très tôt à écrire des textes en plus de sa musique. Pendant la pandémie, elle se forme seule à la production sur Logic Pro. À la sortie du confinement, elle enregistre enfin dans un vrai studio, en acoustique, avec de vrais musiciens. L’album “ Memory “ est le fruit de cette transition, de cette maturation. Paloma contrôle chaque aspect de son art : elle écrit ses textes, compose ses mélodies, imagine les storyboards de ses clips, les réalise elle-même. Elle refuse les étiquettes, revendique sa liberté artistique. “ Je ne veux pas être mise dans une boîte. J’aime la pop produite, mais j’ai toujours aimé le jazz, les artistes intemporels. Aujourd’hui, j’explore, je cherche une voix cohérente. C’est qui je suis. “
Une ascension fulgurante mais ancrée dans l’essentiel – Issue d’un foyer artistique – son père David Chesky est compositeur et pianiste, sa mère Patrícia Dinely, actrice classique brésilienne – Paloma a grandi dans un univers où la création est essentielle. Mais elle trace sa route en solitaire. “ Mes parents me soutiennent, mais me laissent totalement libre. Je crée seule, c’est mon monde, mes idées. “ Son talent a déjà été reconnu : lorsqu’en 2023, la célèbre danseuse étoile Michaela DePrince choisit de danser sur la chanson “ Green “ de Paloma lors du gala du Youth America Grand Prix à Lincoln Center, c’est une consécration. “ Michaela était mon héroïne. Sa disparition m’a profondément marquée. Aujourd’hui, chaque fois que je chante Green, c’est en pensant à elle. “

Un avenir sans frontières – Paloma Dineli Chesky n’est pas une étoile filante. Elle est en train de bâtir une œuvre. Une voix, un style, une présence. Elle électrise les scènes de Birdland, City Winery, Dizzy’s Club, ou Café Wha?, et capte le cœur de ceux qui l’écoutent. Elle est une promesse, une incarnation rare d’authenticité et de maîtrise. Son premier album “ Memory “ n’est pas seulement une carte de visite : c’est une déclaration d’intention. Une traversée des émotions humaines, un hommage aux influences, un manifeste d’indépendance artistique.
On ne sait pas encore jusqu’où ira Paloma Dineli Chesky, mais une chose est sûre : elle chante déjà comme si l’éternité lui appartenait.
Les réseaux sociaux de Paloma
Site Web : https://www.palomachesky.com/music
Instagram : https://www.instagram.com/palomadinelichesky
Youtube : https://www.youtube.com/c/PalomaDineliChesky
Entre quête de sens, crise mondiale et réveil religieux discret, des jeunes et des adultes retrouvent le chemin des églises. Un simple refuge ou le signe d’un renouveau profond ?
Ils sont jeunes, parfois très jeunes. Ils n’ont pas grandi dans une famille particulièrement croyante, ni reçu une éducation religieuse rigide. Et pourtant, ils choisissent de franchir la porte d’une église catholique, protestante ou évangélique, parfois pour la première fois. D’autres, adultes, demandent le baptême. Un geste fort, intime, presque à contre-courant de l’époque.Dans une société sécularisée, marquée par la défiance envers les institutions et la multiplication des spiritualités alternatives, ce mouvement suscite à la fois curiosité, espoir… et prudence. Est-ce un simple réflexe face à l’incertitude mondiale ? Ou le signe d’un renouveau discret, mais profond, des élans spirituels ?
Un monde instable, des âmes en quête . Pandémies, guerres, crises climatiques, effondrements économiques, solitude numérique… Depuis quelques années, l’actualité ressemble à une spirale anxiogène continue. Face à cette réalité fragmentée et imprévisible, nombreux sont ceux qui cherchent un refuge, un sens, une structure intérieure. Et pour certains, cette quête passe — parfois de façon inattendue — par un retour vers les Églises. « C’est comme si quelque chose m’appelait, sans que je sache pourquoi », témoigne Élise, 28 ans, baptisée adulte dans une paroisse catholique de Bruxelles. « Je suis venue un soir par curiosité, pour écouter de la musique. Et je suis restée pour le silence, pour la paix que je ressens ici. »
Une tendance discrète mais réelle . Les chiffres ne traduisent pas toujours ce frémissement, tant il est encore minoritaire. Mais les signes sont là :
- Des paroisses catholiques signalent une hausse des demandes de baptême chez les adultes, notamment en France, en Belgique ou au Québec.
- Les Églises évangéliques, souvent plus dynamiques dans leur communication, enregistrent une fréquentation croissante chez les jeunes adultes.
- Dans les milieux protestants, certains groupes de jeunes ou retraites spirituelles affichent complet, alors même que les cultes dominicaux peinent parfois à se renouveler.
- Des événements comme les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ), les parcours Alpha, ou les rencontres de Taizé continuent d’attirer, voire de convertir.
Ce qui frappe surtout, c’est que cette recherche ne semble pas être un retour nostalgique à la foi des grands-parents, mais une démarche personnelle, libre, souvent inattendue.

Une spiritualité nouvelle génération . Loin de l’image d’Épinal de la religion vécue comme contrainte ou héritage familial, le retour actuel est souvent choisi. Il ne s’agit plus de “croire parce qu’il le faut”, mais de croire parce que quelque chose manque.La génération qui revient vers la foi est ultra-connectée, éduquée, souvent en quête d’authenticité. Elle ne supporte ni les discours autoritaires ni les dogmes rigides. Ce qu’elle recherche ? Du sens, une communauté humaine, une écoute, une présence intérieure.
Le succès de certaines initiatives spirituelles “modernes” ne doit rien au hasard : musique contemporaine, témoignages, accueil bienveillant, débats ouverts, engagement social… Tout cela attire des jeunes qui ne veulent pas seulement prier, mais vivre leur foi dans le monde réel, en lien avec les grandes questions de notre époque (écologie, justice sociale, inclusion…).
Un phénomène passager ? L’histoire religieuse est faite de cycles. Chaque période de crise (guerres, épidémies, bouleversements sociétaux) a vu des retours temporaires vers le spirituel, parfois suivis d’un reflux rapide. Il est donc légitime de se demander si ce nouvel élan n’est qu’un réflexe psychologique provisoire : chercher Dieu quand tout s’effondre, puis s’en détourner dès que le monde redevient (un peu) stable.
Mais plusieurs éléments suggèrent que quelque chose de plus profond est à l’œuvre :
- Le retour à la foi s’accompagne souvent d’une formation, d’un engagement, d’une intégration dans une communauté, voire de vocations tardives.
- Les personnes concernées ne se contentent pas de venir à Noël ou à Pâques : elles participent activement à la vie spirituelle, même en dehors des cadres traditionnels.
- Beaucoup expriment une volonté de mystique intérieure, de silence, de transcendance, loin du “spectaculaire religieux” ou du militantisme.

Et demain ? Lorsque le tumulte géopolitique, économique et climatique s’atténuera — si tant est qu’il s’atténue — quel visage auront les Églises ? Seront-elles plus vivantes ou retomberont-elles dans l’oubli ? Tout dépendra, en partie, de leur capacité à accueillir sans juger, à proposer sans imposer, à dialoguer sans se crisper. L’avenir spirituel ne se jouera pas sur le retour à un passé idéalisé, mais sur l’invention d’un christianisme enraciné, humble, vivant, capable de parler aux cœurs sans effrayer les esprits.
Comme le disait le théologien Joseph Moingt : « Ce ne sont pas les gens qui désertent Dieu, c’est parfois Dieu qu’on leur présente qui les fait fuir. »
Un christianisme post-institutionnel ? Peut-être assiste-t-on à la naissance d’un christianisme plus souterrain, moins institutionnel mais plus personnel. Une foi minoritaire mais fervente, discrète mais engagée, qui choisit la lumière dans l’ombre. Les églises ne seront peut-être pas pleines demain. Mais celles qui resteront ouvertes, prêtes à accueillir les blessés de la vie comme les chercheurs d’absolu, pourraient devenir de véritables refuges de sens dans un monde déboussolé.
Ce n’est pas un retour en arrière. C’est, peut-être, un nouveau commencement.
Depuis 84 ans, le 18 juin reste une date inscrite profondément dans la mémoire collective des Français. En 1940, le général Charles de Gaulle, à l’époque sous-secrétaire d’État à la Guerre, délivre un discours à la radio depuis Londres, signalant le commencement de la Résistance française face à l’occupation allemande. « L’appel du 18 juin » , transmis sur les ondes de la BBC, constitue un moment crucial de la Seconde Guerre mondiale et de l’histoire de France.
Les racines de l’appel du 18 Juin
Après une attaque des troupes allemandes sur le sol français et l’ occupation de la capitale, la condition du pays devient alarmante. Le gouvernement français, sous le régime de Vichy et conduit par le maréchal Pétain, sollicite un armistice. Face à la perspective que l’avenir de la France soit contrôlé par les nazis, le général de Gaulle se rend à Londres. Par l’intermédiaire de la BBC, il exhorte avec gravité le peuple français à se révolter et à s’engager dans la résistance.
« La France a subi une défaite ! Toutefois, la France n’est pas vaincue dans la guerre ! »
Général Charles de Gaulle

L’émergence de la France Libre
L’appel du 18 juin symbolise le début de la France libre. Le général de Gaulle se met à structurer les forces françaises libres (FFL) en collaboration avec les militaires ayant rejoint la Grande-Bretagne. Il bénéficie de l’appui d’un grand nombre de Français vivant à l’étranger, ainsi que des colonies et territoires d’outre-mer, et s’affirme peu à peu comme le leader de la France libre.
Bien que peu remarqué à l’époque, ce discours est devenu le symbole de la résistance et de l’espoir. Il représente un appel à l’honneur et illustre la détermination dans la lutte pour la libération du pays. Chaque année, cette date est célébrée pour honorer le courage de ceux et celles qui ont rejeté la défaite et qui ont œuvré pour la libération de la France.
Récemment, dans la Marne, les gendarmes de la Brigade Territoriale Mobile ont réalisé une intervention qui a été à la fois rapide et pleine de bienveillance. Alors qu’ils effectuaient des travaux de toiture sur une maison privée, des ouvriers ont fait une découverte surprenante : quatre bébés ratons laveurs cachés sous le toit.

Image : Gendarmerie nationale
Dans cette situation exceptionnelle, les travailleurs ont promptement averti les gendarmes afin qu’ils viennent à leur aide. Ces derniers, habitués à gérer des situations diverses, ont rapidement pris soin de ces petites êtres fragiles.
Transport en toute sécurité
Pour garantir la sécurité des bébés ratons laveurs, les gendarmes ont organisé leur transport dans des conditions idéales vers le Refuge de Reims Les Amis Des Bêtes. Ce centre de protection animale, réputé pour son dévouement envers les animaux en difficulté, constitue un environnement parfait pour soigner et préserver ces jeunes ratons laveurs, désormais à l’abri du danger.
Un acte qui dépasse la mission traditionnelle
Cet acte dépasse largement les missions habituelles des gendarmes, souvent considérées comme confinées à la sécurité publique. Cette action illustre leur dévouement envers le respect et la protection des animaux, un enjeu crucial.
L’action rapide des gendarmes et leur empathie face à cette situation ont été applaudies par un grand nombre de personnes. Ils ont su obtenir non seulement le respect, mais également l’émotion d’un public impressionné par un tel engagement.
Une magnifique leçon de solidarité
Ce sauvetage illustre que la solidarité et la bienveillance peuvent se manifester dans des circonstances surprenantes. Félicitations aux gendarmes de la Marne pour ce geste admirable, qui souligne l’importance de préserver toutes les espèces, même les plus petites et les plus fragiles.
Interview de Marco Da SILVA gérant de MDS Multi Services 63
Benoît de Jimagine : Bonjour Marco, bienvenue sur Jimagine.org, pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ?
Marco Da SILVA : Bonjour Benoît, je m’appelle Marco Da Silva, j’habite à Pont-du-Château (63) et, après 30 ans d’activité professionnelle, j’ai décidé de me lancer dans l’entrepreneuriat, un projet que je mûrissais depuis longtemps. En novembre dernier, j’ai créé ma société MDS MULTISERVICES 63.

Benoît de Jimagine : Vous êtes gérant de MDS Multiservices63 pouvez-vous nous parler de votre activité ?
Marco Da SILVA : Mon activité est orientée à 60 % vers l’entretien des espaces verts. Je travaille aussi bien avec des particuliers, des professionnels, que des syndics de copropriété. Je propose des prestations ponctuelles ou des contrats annuels pour les personnes souhaitant un suivi personnalisé. En complément, j’interviens sur une partie multiservices : petits travaux de réparation, création de terrasses, montage de meubles, changement de robinetterie, etc. La liste est non exhaustive, cela dépend des besoins et de l’urgence.
Benoît de Jimagine : Pouvez-vous nous parler de votre agrément « services à la personne » quels sont les avantages ?
Marco Da SILVA : Depuis la création de l’entreprise, j’ai obtenu l’agrément « Services à la personne », ce qui permet à mes clients particuliers de bénéficier d’une réduction ou d’un crédit d’impôt à hauteur de 50 % des sommes engagées pour les prestations éligibles (dans la limite des plafonds fixés par l’État). C’est un vrai coup de pouce pour leur budget, notamment sur les travaux de jardinage, petit bricolage ou assistance à domicile.
Benoît de Jimagine : En dehors de votre activité professionnelle, quels sont vos centres d’intérêts ou loisirs ?
Marco Da SILVA : Depuis mon plus jeune âge, je suis passionné de sport, en particulier de cyclisme, que j’ai pratiqué pendant une dizaine d’années, dès l’âge de 14 ans. Aujourd’hui, je me consacre davantage au footing, plus facile à intégrer dans un emploi du temps chargé, que je pratique en loisir. J’apprécie aussi les moments conviviaux avec mes amis autour d’un bon repas.
Benoît de Jimagine : Comment faire pour vous contacter ?
Marco Da SILVA : Pour me contacter

06 60 04 29 13

mds.multiservices63@gmail.com

Facebook : MDS MULTISERVICES 63
Chaque été, les vagues de chaleur deviennent de plus en plus fréquentes et intenses en raison du changement climatique. D’après Santé Publique France, ces épisodes caniculaires comportent des risques notables pour notre santé, allant d’un simple coup de chaleur à une déshydratation sévère. Le corps humain, particulièrement exposé durant ces périodes, nécessite un apport constant en eau pour maintenir son équilibre hydrique. Bien que s’hydrater régulièrement soit crucial, ajouter des aliments riches en eau dans son régime alimentaire peut être d’une grande aide. Quels fruits et légumes choisir pour combiner plaisir, fraîcheur et hydratation ? Voici notre guide.
Des alliés pour l’hydratation au centre de votre repas
Le concombre : roi de l’hydratation
Composé à 96 % d’eau, le concombre se révèle être le légume idéal pour l’hydratation. De plus, il est peu calorique et regorge de vitamines (A, B, C) ainsi que de minéraux tels que le potassium, réputé pour ses effets réhydratants. Très polyvalent, il peut être savouré en gaspacho, en salade ou même en jus frais.

La tomate : légèreté et propriétés antioxydantes
Avec une teneur en eau de 94 %, la tomate représente un équilibre idéal entre hydratation et apport nutritionnel. Outre sa forte concentration en eau, elle est riche en antioxydants, comme le lycopène, célèbre pour ses effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire. Que ce soit crue ou cuite, la tomate s’intègre parfaitement dans toutes vos préparations estivales.

La courgette : légère et facile à digérer
La courgette, qu’elle soit consommée crue ou cuite, est composée à 94 % d’eau. Ce légume, prisé pour sa saveur douce, est reconnu pour ses avantages sur la santé digestive et cardiaque. Facile à digérer, elle peut être ajoutée à vos plats sautés ou râpée dans des salades fraîches.

Pastèque et melon : les vedettes de l’été
La pastèque contient 90 % d’eau, ce qui en fait une excellente alternative pour combattre la déshydratation. Sa richesse en vitamines A et C aide à fortifier le système immunitaire tout en offrant un goût agréablement sucré. Le melon, qui est un parent proche, est également reconnu pour ses capacités hydratantes. Grâce à ses antioxydants et à ses effets bénéfiques contre la rétention d’eau, il favorise une peau lumineuse tout en aidant à diminuer la pression artérielle.

Des fruits riches en eau aux nombreux avantages
La fraise : un mélange de fraîcheur et de délice
Avec une composition de 90 % d’eau, la fraise combine à la fois hydratation et plaisir gustatif. Peu calorique et riche en fibres, elle favorise la digestion tout en étant une source de vitamine C. Ses vertus dans la lutte contre le cholestérol et l’hypertension en font un choix alimentaire parfait pour la santé.

Pamplemousse et citron : des agrumes reboostants
Le pamplemousse, constitué de 89 % d’eau, se caractérise par son goût acidulé et sa richesse en vitamine C, qui est cruciale pour lutter contre la fatigue estivale. Quant au citron, qui présente également ce même pourcentage d’eau, il est idéal pour parfumer une carafe d’eau fraîche tout en apportant des bienfaits détoxifiants et énergisants.

L’importance de ces choix alimentaires
Les légumes et fruits ayant une forte teneur en eau ne servent pas uniquement à hydrater. Ils fournissent des micronutriments indispensables, tels que des vitamines et des minéraux, qui améliorent votre résistance aux stress induits par la chaleur. Les intégrer dans votre alimentation contribue également à garder un régime léger et facile à digérer, ce qui est particulièrement crucial lors des fortes chaleurs.
Au-delà de leurs avantages immédiats, ces aliments contribuent également à une meilleure gestion globale de votre santé. Une hydratation suffisante est cruciale pour prévenir les coups de chaleur, protéger vos organes vitaux et maintenir une peau saine.
Mettre l’accent sur ces fruits et légumes durant l’été vous permet de bénéficier de deux avantages : d’une part, vous protégez votre santé, et d’autre part, vous contribuez à une consommation plus durable grâce à des produits locaux et de saison. En réponse aux défis climatiques croissants, ces simples gestes peuvent avoir un impact significatif.
Alors, cet été, qu’est-ce qui vous empêche d’incorporer de la fraîcheur et des bienfaits dans vos plats ?
Clermont-Ferrand : Le rugby reprend sa place
Qualifiés pour les barrages de ce TOP 6, les hommes de Christophe Urios ont redonné le sourire au peuple Auvergnat, quelque peu sevré de phases finales depuis 2021. Une très bonne nouvelle pour tous les passionnés de ce club centenaire
Des hauts et des bas
Le supporter de l’ASM Clermont Auvergne est une personne patiente, qui a du attendre de nombreuses années pour voir les « Jaunards », décrocher leur premier bouclier de Brennus en 2010, suivi d’un autre en 2017. Malgré une nouvelle finale en 2019, le club s’est enfoncé dans un marasme corrélé avec la crise de la COVID 19.
Des résultats pas à la hauteur des espérances, du jeu proposé en nette régression, des présidents et des entraîneurs qui se succèdent avant l’arrivée providentielle de Christophe Urios, en janvier 2023, qui venait de se faire remercier par l’UBB. Le natif de Montpellier ne pensait pas trouver le club dans un tel état. Mais à force de labeur, de besogne et de courage, bien épaulé par son staff, par une nouvelle
présidence, et par le fidèle Aurélien Rougerie, le producteur de Château Pépusque vient de qualifier l’ASM pour les quarts de finale de ce top 14, un championnat de plus en plus rude. Ce sera à Bayonne, ce vendredi 13 juin à 21H05, où Clermont va y aller sans pression, pour ce match couperet où tout peut se passer
Des supporters heureux
Des matchs à guichets fermés, des déplacements à la rencontre des supporters, des soirées afterwork, une meilleure organisation des buvettes et restauration au Stade Marcel Michelin, du spectacle à domicile, et voilà comment on embarque tout le monde dans cette aventure humaine. « Cela fait vraiment chaud au cœur de revoir notre club dans les plus hautes sphères de ce top 14, que nous savons très compliqué.
Le mérite en revient à Christophe Urios, personnage atypique, qui a su venir vers nous et remettre ce club là où il doit se trouver tous les ans », souligne Alex, membre de la Yellow Army et abonné depuis plus de 12 ans. De plus, économiquement, de jouer ces phases finales, s’avère être une bouffée d’oxygène, pour un club qui a connu, quelques déboires les années passées et qui commence à remonter la pente.
C’est donc tout un territoire, qui va vibrer de nouveau pour son équipe. « Les gens ici, sont amoureux de leur club. Il est important d’emmener tout le monde avec nous.
Je pense que les supporters se reconnaissent dans cette équipe, et cela me satisfait. Il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin », conclut le sorcier Audois.
Pratique : Diffusion du match Bayonne/ASM vendredi 13 Juin au Stade Marcel
Michelin de 18H00 à 00H00

S’il est un nom qui évoque instantanément les sombres années de la Prohibition américaine, c’est bien celui d’Al Capone. Symbole d’une époque aussi fastueuse que violente, Alphonse Gabriel Capone – plus connu sous le nom de « Scarface » – incarne à lui seul le mythe du gangster charismatique, impitoyable et insaisissable.Né à Brooklyn en 1899, quatrième enfant d’une fratrie d’immigrés napolitains, Capone grandit dans les rues hostiles de New York. Renvoyé de l’école à 14 ans après avoir agressé un professeur, il rejoint un gang local dirigé par Johnny Torrio. Ce dernier devient son mentor, l’initiant aux rouages du crime organisé. Très jeune, Capone est marqué au visage par une balafre suite à une altercation : la cicatrice lui vaudra son surnom désormais légendaire. Après un court passage dans la légalité comme comptable à Baltimore, il rejoint Torrio à Chicago en 1920. À l’époque, la Prohibition transforme les trafics d’alcool en or noir. Capone grimpe rapidement les échelons et, en 1925, prend les rênes de l’organisation à la suite de la retraite forcée de Torrio. À 26 ans, il contrôle un véritable empire : jeux, prostitution, bars clandestins, racket et assassinats ciblés. (Photo : Eliott Ness)

Dans la ville de Cicero, proche de Chicago, Capone règne en maître. Son influence s’étend aux juges, policiers et politiciens qu’il corrompt à coups de valises de billets. Il fait même œuvre de philanthropie en ouvrant une soupe populaire pendant la Grande Dépression, pour adoucir son image d’ennemi public numéro un.Mais la chute approche. En 1929, le célèbre massacre de la Saint-Valentin choque l’Amérique : sept membres du gang rival de Bugs Moran sont exécutés à la mitraillette dans un garage. L’opinion publique réclame des comptes. Tandis qu’Eliot Ness et ses “ Incorruptibles “ mènent une croisade médiatisée contre lui, ce n’est pas pour meurtre ou racket qu’il sera condamné, mais pour fraude fiscale. En 1931, le gouvernement américain réussit là où les balles avaient échoué : Capone est incarcéré à Alcatraz pour onze ans. Affaibli par la syphilis, libéré en 1939, il finit ses jours dans sa villa de Palm Island, en Floride, dans un état mental dégradé. Il meurt en 1947 à l’âge de 48 ans. Sa légende, elle, ne cessera de grandir, nourrissant films, séries, livres et fantasmes. (Photo : La cellule de Capone à la prison Eastern State Penitentiary, aujourd’hui désaffectée, à Philadelphie,où il a passé environ neuf mois à partir de mai 1929)

Les spaghetti aux noix : un goût d’Italie dans la cuisine de Scarface
Derrière l’image du gangster sanguinaire, subsiste une facette méconnue d’Al Capone : celle d’un homme attaché à ses racines italiennes, à sa famille, et aux plaisirs simples de la table. L’un de ses plats préférés n’était ni extravagant ni luxueux, mais profondément authentique : les spaghetti aux noix. Simple et rustique, cette recette évoque les collines de Campanie d’où venaient ses parents, les repas familiaux bruyants, et la chaleur de la cuisine maternelle. Bien loin des dîners de la mafia dans les clubs feutrés, cette assiette fumante incarne une nostalgie, une tendresse presque oubliée au cœur d’un monde de violence.

Recette des Spaghetti aux noix façon Al Capone
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 400 g de spaghetti
- 150 g de cerneaux de noix
- 2 gousses d’ail
- 6 cuillères à soupe d’huile d’olive extra vierge
- 60 g de parmesan râpé (ou pecorino pour plus de caractère)
- Un petit bouquet de persil frais
- Sel et poivre noir du moulin
- (Optionnel) Une pincée de piment rouge pour une touche épicée
Préparation :
- Faire griller légèrement les noix à sec dans une poêle pendant 3 à 4 minutes. Laissez-les refroidir puis hachez-les finement (au couteau ou au robot pour une texture plus fine).
- Faites cuire les spaghetti dans une grande casserole d’eau bouillante salée, selon les indications du paquet. Égouttez-les en gardant une louche d’eau de cuisson.
- Pendant ce temps, faites revenir l’ail finement émincé dans l’huile d’olive, à feu doux, jusqu’à ce qu’il soit doré et parfumé. Attention à ne pas le brûler.
- Ajoutez les noix hachées dans la poêle avec l’ail et faites revenir une minute pour qu’elles s’imprègnent de l’huile parfumée.
- Incorporez les pâtes égouttées dans la poêle. Mélangez bien, ajoutez un peu d’eau de cuisson pour lier le tout si nécessaire.
- Hors du feu, ajoutez le parmesan râpé et le persil ciselé. Poivrez généreusement, goûtez et ajustez le sel.
- Servez immédiatement, avec un filet d’huile d’olive crue et, pour les amateurs, une pincée de piment.
Un plat à méditer, une époque à digérer
À travers cette recette, on devine un homme tiraillé entre deux mondes : celui de l’enfant d’immigrés italiens, façonné par la dureté de la rue mais encore ancré dans la culture familiale, et celui du criminel impitoyable devenu roi d’un empire bâti sur la violence.
Les spaghetti aux noix d’Al Capone sont plus qu’un plat : ils sont une mémoire. Un pont entre la table de la mamma et les salons enfumés de Chicago, entre l’Italie du Sud et la mafia américaine. Un dernier goût d’humanité dans une vie où la tendresse ne s’exprimait plus qu’à travers une assiette de pasta.
Buon appetito… mais surveillez vos arrières.


Photo : Tombe de Capone au cimetière Mount Carmel, à Hillside, dans l’Illinois
Sources : FBI, Wikipédia et eatshistory.com
Sweet Berries en concert à Bègues
Le duo pop Folk, originaire du Puy de Dôme, sera en concert à Bègues le 28 juin à 19h, au jardin aromatique, place de la mairie, dans le cadre de la cinquième saison des apéros-concerts organisés par l’association La Loco Un espace de rencontre
C’est sous un soleil que les bénévoles espèrent généreux, que ce duo pop et folk se produira lors des apéros-concerts de Bègues, lancés par l’association La Loco, en 2021. « C’est important pour nous de continuer et de croire à ce que nous faisons avec notre petite équipe d’une dizaine de bénévoles.
Nos différents événements continuent d’attirer du monde et sont avant tout des moments de rencontre entre les habitants du village et ceux des communes environnantes. Nous tenons à préserver ces concerts un peu intimistes et de consolider le lien social .
Sweet Berries colle parfaitement à notre univers », soulignent les membres du bureau.
Douceur et poésie » Sweet Berries, en référence à la douceur et au réconfort qu’une sucrerie peut apporter à ce monde. Au sein de compositions pop et folk, Laurène – chanteuse – et Léo – chanteur et guitariste – créent un univers poétique et doux dans lequel quiconque est invité à entrer.
Mêlant anglais et français, les textes se basent sur des expériences vécues, des émotions cachées, le tout soutenu par une musique légère et sincère.
A travers leurs chansons, le duo apporte une atmosphère chaleureuse par l’harmonie de leurs voix, des mélodies attrayantes, des refrains entêtants, ainsi que des paroles empreintes de sensibilité qui sauront faire voyager le public. «
Pratique : Concert gratuit
Début du concert 19H
Nouvelle restauration et buvette sur place
En cas d’intempérie, repli à la salle socioculturelle